Invitation à collaborer à l’élaboration des Lignes directrices en matière d’éthique pour l’inclusion et la non-discrimination en psychologie

Le Comité d’éthique (CE) de la SCP a identifié le besoin de mettre à jour, de clarifier et d’élargir les Lignes directrices en matière d’éthique pour l’inclusion et la non-discrimination en psychologie (1990, mise à jour 2001, 2017) et a approuvé l’élaboration de ces lignes directrices.  Nos objectifs avec ce projet sont de fournir une clarification de leur matière et de guider les psychologues vers des meilleures pratiques. Conformément à notre Code, ces lignes directrices révisées seront de nature aspirationnelle plutôt que prescriptive.

En tant que coordonnatrice de cette initiative, Dre Cannie Stark invite tous les membres de la SCP à collaborer avec le CE dans le cadre de cette initiative visant à élaborer une nouvelle version des Lignes directrices en matière d’éthique pour l’inclusion et la non-discrimination en psychologie.  Cliquez ici pour plus d’information

Consultations prébudgétaires en vue du budget fédéral de 2023 (octobre 2022)

La SCP a fourni au gouvernement fédéral cinq recommandations (c.-à-d. demandes financières) à examiner par le Comité permanent des finances de la Chambre des communes. L’objectif de cette démarche est de contribuer à l’établissement du budget fédéral de 2023. De plus, l’Alliance canadienne pour la maladie mentale et la santé mentale (ACMMSM) et le Consortium canadien pour la recherche (CCR), dont la SCP est l’un des membres fondateurs, ont également transmis leurs mémoires au comité.


Lettre ouverte à la ministre de la Santé mentale et des Dépendances pour l’établissement d’un Transfert canadien en matière de santé mentale (octobre 2022)

Sous la direction de l’Alliance canadienne pour la maladie mentale et la santé mentale et de 49 associations nationales vouées à la santé et organismes connexes, une lettre ouverte a été envoyée à l’honorable Carolyn Bennett, ministre de la Santé mentale et des Dépendances, pour demander au gouvernement fédéral de respecter sa promesse électorale de 2021 et de mettre en place un Transfert canadien en matière de santé mentale d’une valeur initiale de 4,5 milliards de dollars sur cinq ans. Voir le communiqué de presse.


Spotlight: CPA Student Mentor Sam Ayers-Glassey and Mentee Naya Goguen

Sam Ayers-Glassey et Naya Goguen

Sam Ayers-Glassey photo
Sam Ayers-Glassey

Restez à l’école, les enfants! Ou pas. Peu importe, vous êtes super!

C’est un mentor qui a convaincu Sam Ayers-Glassey de rester à l’école. Pendant ses études universitaires, Sam n’était pas tout à fait certaine de ce qu’elle voulait faire. Elle n’avait pas vraiment envisagé de faire des études supérieures. Elle a grandi au Cap-Breton avec un universitaire dans la famille et elle s’est toujours demandé, enfant, pourquoi quelqu’un choisirait volontairement de faire plus d’études. Elle a mis cinq ans à obtenir son baccalauréat, y entremêlant voyages, travail et certifications en dehors du milieu universitaire (entraîneuse de natation, entraîneuse personnelle). Vers la fin de ces cinq années, elle a rencontré quelqu’un qui a changé le cours de sa carrière universitaire.

« J’ai eu un mentor exceptionnel, qui était l’un de mes professeurs, et après que j’ai remis un devoir écrit, il m’a dit : “Hé, ça ferait un bon sujet de thèse!”. C’est ainsi que les choses ont évolué… j’ai fait une thèse de spécialisation (bien que sur un sujet différent) et j’ai découvert que j’adorais faire de la recherche, et que l’école n’était pas si mal quand j’apprenais selon mes propres conditions les choses que je voulais apprendre! Ce professeur est ensuite devenu mon directeur de thèse et le coauteur de l’article issu de ma thèse. Il a joué un rôle déterminant dans ma décision de poursuivre mes études après le baccalauréat. »

Naya Goguen photo
Naya Goguen

Sam est maintenant titulaire d’une maîtrise en psychologie et en neurosciences cognitives et commence tout juste son doctorat à l’Université de Waterloo. Son doctorat sera dans le même domaine, avec le même laboratoire, et le même directeur avec lequel elle a fait sa maîtrise. Elle aime les recherches qu’elle effectue, le groupe dont elle fait partie et l’atmosphère du laboratoire. Elle ne regrette pas sa décision de poursuivre ses études et prend maintenant goût à l’enseignement et au rôle de guide, en particulier dans ses fonctions d’assistante à l’enseignement au laboratoire et en tant que mentore au sein du Programme de mentorat étudiant de la SCP. À titre de mentore, Sam a joué un rôle déterminant en aidant sa mentorée Naya Goguen à prendre la décision de NE PAS poursuivre des études supérieures, du moins pour l’instant.

Tout comme Sam, Naya vient d’une province maritime, ayant grandi au Nouveau-Brunswick. Elle vient d’entamer le dernier semestre de son baccalauréat en psychologie à l’Université d’Ottawa. Ce sera sa dernière année d’université, en tout cas pour le moment. Elle travaille au service des régimes de retraite de l’Agence du revenu du Canada tout en terminant son baccalauréat, et elle a décidé de continuer à travailler après l’obtention de son diplôme avant même de songer à poursuivre ses études pour obtenir une maîtrise. Elle attribue à Sam le mérite de l’avoir aidée à prendre cette décision majeure dans sa vie.

« Sam m’a beaucoup aidée dans le débat que j’ai eu avec moi-même : je ne sais pas quel est mon objectif, est-ce que je devrais simplement faire une maîtrise? Une grande partie de moi a toujours voulu continuer et atteindre le plus haut niveau d’éducation possible. Sam m’a aidé en écoutant mes questionnements et m’a fait réaliser que je n’avais pas à prendre une décision tout de suite, et que je n’avais pas à m’imposer la pression de me sentir obligée de le faire. À l’origine, je voulais un mentor pour m’orienter dans la rédaction de ma thèse de spécialisation, mais elle m’a finalement aidée d’une façon bien plus importante, soit à prendre une décision par rapport à ma vie! »

LE TEMPS D’UNE PAUSE AVEC SAM ET NAYA

Tu ne peux écouter qu’un seul artiste/groupe musical pour le reste de tes jours. Quel sera ton choix?
Naya: « Facile. Arctic Monkeys. »
Sam: « J’ai essayé la natation, le tir à l’arc, le karaté, le basketball, le soccer. Je me suis beaucoup amusée, mais aucun de ces sports ne m’a vraiment donné la piqûre! »

Est-ce que tu pratiques un sport? Qu’est-ce que c’est, et le regardes-tu, le suis-tu?
Sam: « J’ai toujours fait de la natation, du plus loin que je me souvienne. Je faisais partie d’une équipe de natation non compétitive et j’ai été entraîneuse de natation pour l’équipe d’élite locale à Sydney avant de déménager à Waterloo pour mes études. Ce que j’aimais le plus, c’était vraiment la natation en eau libre, parce que j’ai grandi sur la côte et près de l’océan. C’est comme ça que j’avais l’habitude de me changer les idées, en nageant pendant quelques heures. Maintenant, je suis entraîneuse de natation bénévole pour le club de triathlon de l’université. »
Naya: « J’ai essayé la natation, le tir à l’arc, le karaté, le basketball, le soccer. Je me suis beaucoup amusée, mais aucun de ces sports ne m’a vraiment donné la piqûre! »

Livre préféré
Sam: « En général, j’aime beaucoup les livres qui ont un aspect scientifique ou de vulgarisation. Des livres accessibles, mais axés sur la science. Je viens d’écouter l’intégralité de la version audio du livre If Nietzsche Were a Narwhal lors d’un voyage de retour du Cap-Breton. Ce n’est pas mon préféré, mais c’est le genre de livres que j’aime. »
Naya: « Je vais choisir une série de mon enfance, la série Percy Jackson, ma série préférée entre toutes. »

Citation favorite
Naya: « On passe toute sa vie dans sa tête. Aussi bien en faire un endroit agréable. »
Sam: « Ce n’est pas toujours à l’école qu’on apprend les choses. » ou « Ne fais pas de mal, mais fais-toi respecter. »

Si tu pouvais devenir une experte dans un autre domaine que la psychologie, qu’est-ce que ce serait?
Sam: « Probablement quelque chose de créatif comme la cuisine ou la peinture. Quelque chose qui est sans contraintes. »
Naya: « Je deviendrais une saxophoniste professionnelle. J’ai joué du saxophone pendant un an au secondaire et je n’en ai plus rejoué depuis, mais c’était une année amusante! »

Il y a beaucoup d’étudiants qui vont à l’université parce qu’ils se sentent obligés de le faire. Ils peuvent être très doués dans un certain domaine d’études et choisir ce domaine pour leurs études postsecondaires. Mais souvent, ils ne se posent pas les questions fondamentales qui sont peut-être les plus importantes. Est-ce que je veux faire cela pour le reste de mes jours? Combien de temps est-ce que je veux continuer à étudier? Est-ce que j’aime vraiment travailler dans ce domaine, même si j’ai le potentiel qu’il faut?

Dans ces circonstances, la personne a souvent tout intérêt à prendre le temps de réfléchir et à explorer le plus grand nombre d’options possibles. Ainsi, lorsqu’elle sera finalement en mesure de prendre une décision ferme concernant la poursuite de ses études supérieures, sa carrière ou la direction qu’elle veut donner à sa vie, elle se sentira beaucoup plus à l’aise et en confiance. C’est le cas de Sam, qui a fait cela avant de rencontrer son mentor et de s’engager sur la voie d’un doctorat en psychologie.

« Pendant mes études, j’ai pris plusieurs congés et j’ai mis cinq ans pour obtenir mon diplôme. J’ai voyagé et travaillé à temps partiel et à plein temps. J’ai obtenu quelques certifications en dehors de l’université, par exemple entraîneuse de natation et entraîneuse personnelle, pour essayer d’avoir un aperçu des différents domaines dans lesquels je pourrais me lancer. Puis mon professeur a commencé à m’aider, et le fait d’avoir quelqu’un pour me dire “hé, tu serais bonne dans ____” ou “tu te débrouilles vraiment bien dans ______” au moment où j’avais à décider si je devais poursuivre ou non mes études, cela m’a beaucoup aidée. En particulier parce qu’il l’a fait sans me mettre aucune pression de suivre le chemin tout tracé des études supérieures : thèse de spécialisation, maîtrise, doctorat, devenir professeure, et puis rester dans le milieu universitaire. Je souhaitais vraiment insuffler cette notion de choix à Naya aussi, qu’elle n’était pas obligée de suivre à tout prix ce parcours. »

La pression pour suivre ce chemin tout tracé peut être intense, et la perspective de s’en écarter peut paraître intimidante, en particulier lorsque la plupart des personnes qui vous entourent vous encouragent à suivre exactement cette voie (et souvent s’attendent à ce que vous la suiviez). Il faut une personne douée d’empathie pour en aider une autre à prendre cette décision, et une personne confiante pour prendre cette décision. Sam a proposé la candidature de Naya pour le Prix du mentoré de l’année de la Section des étudiants en bonne partie parce qu’elle est cette personne confiante.

« Naya a été une mentorée fantastique parce qu’elle était vraiment ouverte aux différentes conversations que nous avons eues. Si elle avait vraiment voulu faire des études supérieures et présenter des demandes de financement, cela aurait été formidable aussi. Mais il faut beaucoup de courage pour dire “je ne sais pas ce que je veux faire” et en parler semaine après semaine, s’adonner à tout ce processus. Je pense que c’est l’une des principales raisons pour lesquelles elle a été une excellente mentorée, parce qu’elle était vraiment ouverte à discuter de tout, et qu’elle a vraiment accepté de me demander mon avis. »

Demander l’avis de Sam a conduit les deux femmes à prendre des chemins différents. Mais grâce à la capacité d’introspection de Naya et à la vision d’ensemble de Sam, il ne fait aucun doute que ces deux parcours professionnels seront couronnés de succès et gratifiants. Et elles sont toutes les deux la preuve que le fait de dire ouvertement : « je ne sais pas ce que je veux faire » peut conduire à « je sais ce que je ne veux pas faire », ce qui est déjà un progrès considérable.

 

Série « La psychologie peut vous aider » : la douleur chronique chez les enfants

La douleur chronique chez les enfants : qu’est-ce que c’est au juste et pourquoi est-ce important?

La douleur chronique touche un enfant/adolescent sur cinq au Canada. Cela signifie qu’un à trois millions de jeunes souffrent d’une douleur qui dure plus de trois mois et qui est associée à des expériences sensorielles et émotionnelles négatives. Contrairement à la douleur aiguë, qui provient généralement d’une lésion des tissus de l’organisme et dure peu de temps, la douleur chronique dure plus longtemps que le temps de guérison prévu et est comme un système d’alarme qui se déclenche et s’éteint sans lien avec une lésion réelle ou potentielle des tissus.

La douleur chronique est considérée comme une maladie en soi, comme les maux de tête. Elle peut également être secondaire à une maladie chronique, comme la drépanocytose ou l’arthrite, une intervention chirurgicale, un cancer ou une blessure. La douleur chronique peut se manifester de façon graduelle ou soudaine et peut être isolée dans une région du corps ou s’étendre à plusieurs régions. La douleur qu’un jeune peut ressentir peut être continue (ne disparaît pas) ou récurrente (fluctue dans le temps).

Étant donné que la douleur, par sa nature même, accapare beaucoup l’attention de la personne affectée, de nombreux enfants et jeunes souffrant de douleur chronique subissent des perturbations dans plusieurs aspects de leur vie quotidienne, notamment la réussite scolaire, la présence en classe, le sommeil, les relations avec les pairs, les activités, le fonctionnement de la famille et le bien-être psychologique, dont l’humeur et l’anxiété. La douleur chronique n’affecte pas seulement l’enfant ou le jeune, mais aussi sa famille. Les parents d’un enfant souffrant de douleur chronique doivent souvent composer avec une perte de productivité au travail pour répondre aux besoins de leur enfant et rapportent des niveaux plus élevés de stress lié à leur rôle de parent, d’impuissance, d’anxiété, de dépression et de symptômes de stress post-traumatique que les parents dont les enfants n’ont pas de douleurs chroniques. L’intensité de la douleur de l’enfant n’est pas un indicateur de l’ampleur des perturbations qu’il subit ou que subit sa famille. Comme la douleur est invisible et fluctue souvent, les parents, les enseignants et les pairs peuvent avoir du mal à déterminer l’intensité de la douleur d’un enfant et à savoir comment l’aider à gérer celle-ci.

Un bon moyen de comprendre la douleur chronique est d’utiliser un modèle biopsychosocial, qui est composé de trois aspects :

  1. Biologique (p. ex. nociception, traitement de la douleur dans le cerveau)
  2. Psychologique (p. ex. facteurs émotionnels et cognitifs, capacité d’adaptation)
  3. Facteurs sociaux et familiaux (p. ex. milieu socioéconomique, origine ethnique, dynamique familiale, réactions des autres à la douleur).

Ces trois facteurs s’influencent mutuellement et peuvent jouer un rôle plus ou moins important dans le développement et le maintien de la douleur chronique, selon l’âge, le sexe et les expériences antérieures de l’enfant ou du jeune en matière de douleur. La douleur chronique n’est pas uniquement un problème de santé physique ni uniquement un problème de santé mentale; les deux aspects (corps-esprit) sont interreliés. Le cerveau est l’unité de traitement des signaux de douleur et de confort. Par conséquent, toute douleur a une composante émotionnelle et est affectée par des facteurs internes et externes à l’enfant ou au jeune.

Quelles interventions psychologiques fondées sur des données probantes peuvent aider dans la prise en charge de la douleur chronique chez les enfants?

Comme la douleur chronique peut avoir de nombreuses causes, le traitement est principalement axé sur l’amélioration du fonctionnement. Cette approche vise à ce que les enfants et les jeunes souffrant de douleur chronique puissent améliorer leur humeur, leur assiduité à l’école et leur participation aux activités, bouger plus facilement, mieux dormir et passer du temps avec leurs amis et leur famille. Ces aspects sont importants, car des symptômes de dépression et d’anxiété accompagnent souvent la douleur chronique. Étant donné que les enfants et les jeunes qui présentent des symptômes de dépression ou d’anxiété sont plus susceptibles de faire état de niveaux de douleur plus élevés, il peut être utile de se concentrer non seulement sur l’atténuation de la douleur, mais aussi sur la manière de reprendre les activités qui leur sont chères.

Comme la douleur suit un modèle biopsychosocial, elle nécessite une intervention multidimensionnelle pour son traitement. L’approche la plus courante est l’approche des « 3P », qui combine des stratégies de traitement psychologiques, physiques et pharmacologiques (médicaments). Dans le cadre de cette approche, le traitement est plus efficace lorsque l’enfant ou le jeune travaille avec différents professionnels de la santé, par exemple un psychologue pour le lien entre le corps et l’esprit, un physiothérapeute pour le mouvement et un médecin si des médicaments sont nécessaires. De toutes les modalités de traitement, ce sont les interventions psychologiques qui présentent les preuves les plus solides pour la prise en charge de la douleur chronique chez les enfants, plus encore que les médicaments ou les traitements physiques. Deux des principales modalités de traitement de la douleur chronique chez les enfants et les jeunes sont la thérapie cognitivo-comportementale (TCC) et la thérapie d’acceptation et d’engagement (TAE). Ces approches thérapeutiques peuvent inclure des stratégies telles que la rétroaction biologique, la relaxation, la pleine conscience, le traitement des schémas de pensées inutiles, la fixation d’objectifs, l’hygiène du sommeil ou l’autohypnose. Les psychologues peuvent combiner ces stratégies pour traiter le lien communément observé entre la douleur et l’anxiété (p. ex. la peur du mouvement). La TCC et la TAE visent toutes deux à améliorer le fonctionnement malgré la douleur. La thérapie peut être proposée soit en personne avec un ou une thérapeute, soit à distance en ligne ou via une application.

Les parents jouent également un rôle important dans les interventions psychologiques visant à traiter la douleur chronique chez les enfants et les jeunes. Même si les parents peuvent trouver que la douleur chronique de l’enfant ou du jeune est pénible, il est important qu’ils restent le plus optimistes possible. Bien que les jeunes enfants puissent avoir davantage besoin du soutien émotionnel de leurs parents que les enfants ou les jeunes plus âgés, tous les parents peuvent mieux soutenir leur enfant s’ils savent valider et résoudre les problèmes. Cela veut dire que les parents peuvent repérer les problèmes, les décomposer en parties faciles à gérer et les résoudre de manière positive. Parfois, il peut être utile pour le parent d’apprendre à faire cela avec un ou une thérapeute afin de pouvoir soutenir au mieux son enfant ou son jeune.

Où puis-je obtenir plus d’information?

Livres

When your child hurts: Effective strategies to increase comfort, reduce stress, and break the cycle of chronic pain de Rachel Coakley

Managing your child’s chronic pain de Tonya M. Palermo et Emily F. Law

Sites Web

Application WebMAP Mobile (https://www.seattlechildrens.org/research/centers-programs/child-health-behavior-and-development/labs/pediatric-pain-and-sleep-innovations-lab/resources/)

Pain Bytes (https://www.aci.health.nsw.gov.au/chronic-pain/painbytes)

The Comfort Ability (https://www.thecomfortability.com)

Solutions pour la douleur chez les enfants (SKIP) (https://kidsinpain.ca/fr/)

AboutKidsHealth – douleur (https://www.aboutkidshealth.ca/Fr)

 Pour savoir si une intervention psychologique peut vous aider, consultez un psychologue agréé. Les associations provinciales et territoriales, et certaines associations municipales offrent des services d’aiguillage. Pour connaître les noms et les coordonnées des associations provinciales et territoriales de psychologues, veuillez vous rendre à l’adresse https://cpa.ca/fr/public/unpsychologue/societesprovinciales/.

La présente fiche d’information a été rédigée pour la Société canadienne de psychologie par Brittany Rosenbloom, Elise Kammerer et Kathryn Birnie, en partenariat avec Solutions pour la douleur chez les enfants (SKIP), un réseau national de mobilisation des connaissances dont la mission est d’améliorer la prise en charge de la douleur chez les enfants par la mise en place de solutions fondées sur des données probantes, grâce à la coordination et à la collaboration.

Date : octobre 2022

Votre opinion est importante! Veuillez communiquer avec nous pour toute question ou tout commentaire sur les feuillets d’information de la série « La psychologie peut vous aider » : factsheets@cpa.ca.

Société canadienne de psychologie
1101 promenade Prince of Wales, bureau #230
Ottawa, ON K2C 3Y4

Tél. : 613-237-2144
Numéro sans frais (au Canada) :  1-888-472-0657