Please find my CV, biography, and this statement of intent as my application to the CPA Justice, Equity, Diversity, and Inclusion Executive position for the 2021-2022 academic year.
Throughout the course of my academic and extra-curricular work, I have been motivated to amplify the voices of marginalized and under-served populations. My Master’s research focused on empirically evaluating racism in the context of substance use. This work required me to immerse myself in literature detailing historical and contemporary injustices faced by many Indigenous peoples in Canada. More recently, I have been working with other members of the Psychology Graduate Student’s Association (PGSA) at the University of Regina to organize and facilitate a virtual panel-style speaker series addressing systemic racism in various fields. Thus far, we have held three events focused on educating psychology students and scientist-practitioners in psychology about systemic racism in mental health, systemic racism in research and academia, and systemic racism in our community. This work has allowed me to develop a perspective that, if elected as the Justice, Equity, Diversity, and Inclusion Executive, would prove to be invaluable.
I would like to hold this position because I believe that I recognize the gravity of this role and what it means to fight for justice, equity, diversity, and inclusion. Although I am Inuk, I cannot speak for all Inuit, nor all Indigenous peoples, nor all BIPOC individuals. I hold the perspective that justice, equity, diversity, and inclusion must go beyond “checking the boxes” or having a token individual from every marginalized group. If elected, I will work to gather a community of individuals who are equally as motivated to do the difficult anti-oppressive and anti-racist work. Moreover, I will ensure a safe and inclusive environment where BIPOC and marginalized students in psychology can thrive.
Veuillez trouver mon CV, ma biographie et cette déclaration d'intention en tant que candidate pour le poste de direction en justice, équité, diversité et inclusion de la SCP pour l'année universitaire 2021-2022.
Tout au long de mon parcours académique et parascolaire, ma source de motivation a été d’amplifier les voix des populations marginalisées et sous représentées. Ma recherche de maîtrise était l’évaluation empirique du racisme dans le contexte de la consommation de substances. Ce travail a exigé que je plonge dans la littérature détaillant les injustices historiques et contemporaines auxquelles sont confrontés de nombreux peuples Autochtones au Canada. Plus récemment, j’ai travaillé avec d’autres membres de l’association des étudiants diplômés en psychologie (PGSA) de l’Université de Regina pour organiser et animer une série de conférences virtuelles sur le racisme systémique dans divers domaines. Jusqu'à présent, nous avons organisé trois événements axés sur l'éducation des étudiants en psychologie et des praticiens et chercheurs en psychologie sur le racisme systémique en santé mentale, le racisme systémique dans la recherche et le milieu universitaire et finalement le racisme systémique dans notre communauté. Ce travail m'a permis de développer une perspective qui se révèlerait inestimable si j’étais élue comme en justice, équité, diversité et inclusion.
Je voudrais occuper ce poste parce que je crois que je reconnais la gravité de ce rôle et ce que signifier lutter pour la justice, l'équité, la diversité et l'inclusion. Bien que je sois Inuk, je ne peux pas parler pour tous les Inuits, ni pour tous les peuples Autochtones, ni pour tous les individus BIPOC. Je suis d'avis que la justice, l'équité, la diversité et l'inclusion doivent aller au-delà de «cocher les cases» ou d'avoir un individu représentatif de chaque groupe marginalisé. Si je suis élu, je travaillerai pour rassembler une communauté d'individus qui sont tout aussi motivés pour faire un travail anti-oppressif et anti-raciste. De plus, je garantirai un environnement de sécurité et d’inclusion où les personnes BIPOC et les étudiants marginalisés en psychologie pourront s'épanouir.
Emily Winters is a Doctoral student in Clinical Psychology at the University of Regina. She is an Inuk-Settler woman from Newfoundland and Labrador. She was raised in St. John’s and her land claims region is Nunatsiavut, a stretch of land along the coast of Labrador. Emily holds a Bachelor of Science (Honours), as well as a Master’s of Science in Experimental Psychology from Memorial University of Newfoundland. Emily’s research interests include attitudes and perceptions towards substance use, particularly within the context of vulnerable and under-served populations. Her SSHRC-funded Master’s research examined the stigma surrounding substance use disorders and how the intersections of Indigeneity and treatment-seeking intention amplify that stigma. Her doctoral research aims to better understand the circumstances and prevalence of both medical and recreational cannabis use in long-term care facilities in Saskatchewan. Emily’s doctoral research will highlight perspectives from various stakeholders (e.g., nurses, family caregivers, residents) while examining their attitudes towards cannabis use, their perceived barriers and facilitators to cannabis use, and any associated stigma. Emily has a long-term goal of working as an independent researcher in an academic setting, as well as practicing as a clinical psychologist. Emily is an avid reader who has been recently enjoying the works of Tanya Talaga, Samantha Irby, and Sally Rooney. She greatly enjoys being by the ocean, which is her biggest qualm with completing her PhD in the landlocked province of Saskatchewan. Her favourite pre-pandemic activities were listening to live music, gathering with friends, and travelling. Her favourite post-pandemic activities have been spending time with her roommates, going for walks, cooking, and doing at- home workouts.
Emily Winters est étudiante au doctorat en psychologie clinique à l'Université de Regina. Elle est une femme Inuk de Terre-Neuve-et-Labrador. Elle a été élevée à St. John’s et sa région de revendications territoriales est le Nunatsiavut, une étendue de terre le long de la côte du Labrador. Emily détient un baccalauréat en sciences (avec distinction), ainsi qu'une maîtrise en sciences en psychologie expérimentale de l'Université Memorial de Terre-Neuve. Les intérêts de recherche d'Emily comprennent les attitudes et les perceptions à l'égard de la consommation de substances, en particulier dans le contexte des populations vulnérables et mal desservies. Sa recherche de maîtrise financée par le CRSH a examiné la stigmatisation entourant les troubles liés à la consommation de substances et la façon dont les intersections entre l’Indigénéité et l’intention de rechercher un traitement amplifient cette stigmatisation. Sa recherche doctorale vise à mieux comprendre les circonstances et la prévalence de la consommation de cannabis à des fins médicales et récréatives dans les établissements de soins de longue durée en Saskatchewan. La recherche doctorale d’Emily mettra en évidence les points de vue de divers intervenants (p. ex., infirmières, proche aidant, résident de centre). Emily a pour objectif à long terme de travailler en tant que chercheuse indépendante dans un milieu universitaire, ainsi que d'exercer en tant que psychologue clinicienne. Emily est une lectrice avide qui a récemment apprécié les œuvres de Tanya Talaga, Samantha Irby et Sally Rooney. Elle aime beaucoup être au bord de l'océan, ce qui est sa plus grande déception en lien avec terminer son doctorat dans la province enclavée de la Saskatchewan. Ses activités prépandémiques préférées étaient d'écouter de la musique en direct, de se réunir avec des amis et de voyager. Ses activités post-pandémiques préférées ont été de passer du temps avec ses colocataires, de se promener, de cuisiner et de faire des entraînements à la maison.