Mois de l’histoire des noirs : Dre Donna Ferguson

Dre Donna Ferguson photoDre Donna Ferguson
Février, c’est le Mois de l’histoire des Noirs, et la SCP met en vedette, tout au long du mois, des psychologues noirs contemporains. La Dre Donna Ferguson est psychologue clinicienne et travaille pour le Programme travail, stress et santé du CAMH; elle exerce également en pratique privée, où elle effectue, entre autres choses, des évaluations de l’admissibilité au statut de réfugié et des évaluations des besoins humanitaires.

Profils du Mois de la psychologie : Dre Brigitte Sabourin et Dr Nicholas Carleton, sychologie clinique

Dr. Brigitte Sabourin
Dr. Brigitte Sabourin
Dr. Nicholas Carleton
Dr. Nicholas Carleton

Dre Brigitte Sabourin et Dr Nicholas Carleton, Psychologie clinique
La psychologie clinique est la branche de la psychologie à laquelle pensent la majorité des gens quand ils entendent le mot psychologue. Mais nous avons largement dépassé le cliché patient-allongé-sur-un-divan, et la pratique clinique est entrée dans le monde virtuel en ligne. Nous avons échangé avec la Dre Brigitte Sabourin et le Dr Nicholas Carleton sur la situation actuelle de la psychologie clinique.


Profils du Mois de la psychologie : Dre Keira Stockdale and Dre Sandy Jung,Criminal Justice Psychology

Dr. Keira Stockdale
Dr. Keira Stockdale
Dr. Sandy Jung
Dr. Sandy Jung

Dre Keira Stockdale and Dre Sandy Jung, Criminal Justice Psychology
La discipline de la justice pénale est vaste et les psychologues sont impliqués dans presque toutes ses facettes, de la prévention jusqu’à la libération conditionnelle. Nous nous sommes entretenus avec la Dre Keira Stockdale et la Dre Sandy Jung à propos de leur travail dans ce domaine, et avons discuté de l’avenir de la profession.


Profils du Mois de la psychologie : Dre Zarina Giannone, Psychologie du sport et de l’exercice

Dre Zarina Giannone
Dre Zarina Giannone

Dre Zarina Giannone, Psychologie du sport et de l’exercice
Tandis que les exploits des athlètes olympiques captent notre attention, nous mettons aujourd’hui l’accent, dans le cadre du Mois de la psychologie, sur les psychologues qui les aident à atteindre ces performances exceptionnelles. Toutefois, la psychologie du sport ne s’intéresse pas qu’aux athlètes de haut niveau. Nous avons parlé de ce domaine passionnant avec la Dre Zarina Giannone.


Bourse internationale de la Société canadienne de psychologie

Le conseil d’administration de la Société canadienne de psychologie a instauré un programme de bourses internationales qui est accessible aux pays qui sont des membres en devenir ou des nouveaux membres de la Global Psychology Alliance (GPA) ainsi qu’à ceux qui ne sont pas membres de la GPA, mais qui sont en train de développer et d’officialiser l’organisation de la psychologie dans leur pays.

Ce financement est annoncé au moins une fois par an aux pays membres de la Global Psychology Alliance. Seuls les organisations ou les départements de psychologie, et non les psychologues eux-mêmes, seront admissibles. Le financement sera plafonné à 5 000 $ CAN par année et est attribué dans le cadre d’un processus de demande continu. Une même demande ne peut dépasser 5 000 $ CAN et la SCP se réserve le droit d’accorder un montant supérieur ou inférieur à celui demandé.

Cliquez ici pour le lien d’application et des informations complètes : Formulaire de demande de bourse internationale de la Société canadienne de psychologie


Série « La psychologie peut vous aider » : Faire face aux situations d’urgence, aux catastrophes et aux événements violents

Comme tout facteur de stress, les urgences de santé publique (pandémies), les catastrophes (tsunamis, tremblements de terre, tornades) et les événements violents (fusillades, actes terroristes, guerres) mettent à l’épreuve notre capacité d’adaptation. Que nous en entendions parler à la télévision ou qu’elles nous touchent personnellement, ces situations peuvent engendrer inquiétude, anxiété et peur, en nous faisant craindre pour notre sécurité et pour celle de notre famille, nos amis et notre collectivité. Les événements stressants peuvent également provoquer des sentiments et des souvenirs d’événements traumatisants antérieurs, ce qui aggrave la détresse que nous ressentons.

Les personnes susceptibles de réagir plus fortement au stress d’une catastrophe, d’une situation d’urgence ou d’un événement violent sont notamment les personnes âgées, les enfants et les adolescents, les premiers intervenants et les fournisseurs de soins de santé qui participent à l’intervention en cas de catastrophe ou de crise, les personnes souffrant de problèmes de santé mentale, notamment de toxicomanie, ou qui s’inquiètent excessivement, les personnes qui vivent seules ou qui ont peu de soutien social, et les personnes qui sont personnellement touchées ou dont les amis et la famille sont personnellement touchés par ce qui se passe.

Choses à garder à l’esprit au sujet du stress

Il est normal d’être affecté émotionnellement, à différents degrés, par des catastrophes et des événements à grande échelle. Il est important de se rappeler que :

  • Les gens sont forts et résilients, et ont généralement les compétences nécessaires pour faire face aux facteurs de stress qu’ils devront affronter dans leur vie.
  • Tout le monde ne réagit pas de la même façon à un même événement, et les gens ne manifestent pas leur détresse de la même manière.
  • La façon dont les enfants et les collectivités font face et réagissent à un facteur de stress est influencée par la façon dont les parents, les fournisseurs de soins et les dirigeants communautaires font face et réagissent à ce facteur de stress.

Faire face aux catastrophes, aux situations d’urgence et aux événements violents

Prendre soin de soi :

  • Le fait d’entendre parler continuellement de la catastrophe ou de la situation d’urgence peut être pénible; arrêtez de temps en temps de regarder, lire ou écouter les nouvelles, y compris les médias sociaux.
  • Prenez soin de votre corps. Respirez profondément, étirez-vous ou méditez. Essayez de manger des repas sains et équilibrés, de faire de l’exercice régulièrement, de dormir suffisamment, et évitez l’alcool et la drogue.
  • Restez en contact avec les gens. Parlez à vos amis et à votre famille, ou à un professionnel, de vos préoccupations et de ce que vous ressentez.
  • Maîtrisez vos pensées et vos émotions, et gardez espoir.
  • Maintenez dans la mesure du possible une routine normale; continuez à faire des activités qui vous plaisent ou qui vous détendent.
  • Prenez part à la guérison (p. ex., en organisant un hommage public pour honorer les victimes de violence ou en y assistant, en donnant de votre temps, de l’argent ou des fournitures, en faisant du bénévolat dans un organisme local).

Prendre soin de sa famille :

Les enfants et les adolescents peuvent être particulièrement perturbés par les catastrophes et les situations d’urgence. Ils réagissent, en partie, aux comportements et aux attitudes des adultes qui les entourent; alors, restez calme pour leur apporter le meilleur soutien possible. En plus de limiter l’exposition de votre famille à la couverture médiatique de l’événement et de maintenir une routine régulière et des activités agréables, vous pouvez soutenir votre enfant ou votre adolescent de la manière suivante :

  • En lui donnant la possibilité de parler de ses préoccupations, en lui disant la vérité, en le rassurant et en lui disant qu’il peut compter sur vous.
  • En lui disant que c’est normal de se sentir bouleversé ou d’avoir peur, et en lui parlant des moyens de faire face à ses émotions et ses sentiments.

Réagir en tant que collectivité :

  • Restez informé et suivez les conseils des experts.
  • Suivez les directives des organismes de santé et des responsables de la santé publique en ce qui concerne la santé et la sécurité.
  • Souvenez-vous que les médias parlent plus souvent de ce qui va mal que de ce qui va bien et rapportent généralement des situations exceptionnelles plutôt que des situations normales.
  • Faites un usage mesuré des informations partagées par les médias et respectez les consignes de sécurité pour de réduire les risques, sans laisser les informations qui circulent et le rappel constant des consignes de sécurité vous préoccuper indûment.

Lorsque la détresse psychologique devient trop grande

Les catastrophes, les situations d’urgence et les événements violents ont des répercussions différentes sur les gens. Nous pouvons être touchés psychologiquement ou physiquement; certaines réactions peuvent être immédiates et d’autres peuvent être retardées. Les événements violents peuvent être particulièrement douloureux lorsque les victimes font partie d’un groupe racial, ethnique ou autre auquel nous pouvons nous identifier. Les facteurs de stress qui sont hors de notre contrôle sont particulièrement difficiles à gérer.

Si vous remarquez que le comportement de votre enfant ou de votre adolescent a changé de façon significative, parlez-en avec lui. Les signes et les symptômes qui pourraient révéler un problème ou un trouble psychologique pour lequel vous ou un proche pourriez bénéficier d’une aide professionnelle sont les suivants :

  • Modification des habitudes de sommeil ou des habitudes alimentaires (trop ou pas assez)
  • Éviter les autres (même dans les limites de la distanciation physique) ou parler moins
  • Présenter des maux de tête, des problèmes d’estomac, des douleurs au cou ou au dos ou une aggravation des problèmes de santé chroniques
  • Pleurs excessifs, inquiétudes, tristesse, peur ou crises de panique
  • Se sentir en colère, coupable, impuissant, confus, irritable ou impatient
  • Penser excessivement à la catastrophe ou à la situation d’urgence ou regarder beaucoup trop la télévision ou les nouvelles sur le sujet
  • Ne pas vouloir se lever le matin
  • Difficulté à se concentrer ou à être attentif
  • Consommation accrue d’alcool, de tabac et de drogue
  • Vouloir surprotéger ses proches
  • Éviter les activités qui étaient plaisantes auparavant
  • Chez les enfants ou les adolescents, mauvais résultats scolaires ou absence de l’école, retour à des comportements qu’ils n’avaient plus (p. ex., l’énurésie) ou comportements agressifs.

Il est important de se rappeler que la plupart d’entre nous ont vécu ou connu, à un moment ou à un autre, certains des signes et des symptômes énumérés ci-dessus. Si vous constatez plusieurs de ces signes et de ces symptômes, et que ceux-ci

  • persistent au-delà de quelques semaines
  • persistent au point où vous ne pouvez pas effectuer les activités domestiques ou professionnelles autorisées par les consignes de distanciation physique
  • sont accompagnés de sentiments intenses de désespoir, d’impuissance ou de pensées suicidaires

il serait avisé de consulter un professionnel de la santé membre d’une profession réglementée, comme un psychologue, votre médecin de famille, une infirmière praticienne, un psychiatre ou un autre fournisseur de soins de santé mentale.

Que peuvent faire les psychologues?

Victimes de catastrophes, de situations d’urgence et d’événements violents – Le rôle des psychologues

Chaque fois qu’il y a une catastrophe, une situation d’urgence ou un événement violent, les psychologues peuvent être et sont souvent mobilisés pour offrir de l’aide[1]. Les psychologues sont formés pour aider les gens à faire face au stress et aux émotions fortes, qu’ils soient des victimes, des témoins, des proches ou des premiers intervenants.

Les psychologues peuvent aider les individus à faire face aux symptômes psychologiques et physiques mentionnés ci-dessus, par les moyens suivants :

  • Diagnostiquer un problème de santé mentale et élaborer un plan de traitement
  • Aider les personnes à utiliser leurs propres ressources internes pour entamer le processus de rétablissement
  • Mettre les survivants en contact avec d’autres personnes pour qu’ils apprennent à faire face aux défis logistiques et émotionnels de l’événement traumatisant
  • Informer les gens sur la gamme d’émotions qu’ils peuvent ressentir après l’événement
  • Écouter les inquiétudes des gens sur une variété de problèmes (p. ex., parents au sujet des enfants)
  • Aider les gens à faire face à leurs conditions de vie temporaires, comme les abris
  • Fournir des informations sur les ressources disponibles pour répondre aux besoins courants comme les vêtements, les soins médicaux, etc., et faciliter la liaison avec ces ressources
  • Défendre les besoins des personnes ou des familles lorsqu’elles se retrouvent dans les systèmes qui ont été mis en place pour les aider
  • Aider les personnes à élaborer leur propre plan de rétablissement et d’acceptation du changement
  • Aider à résoudre les conflits
  • Aider les gens à faire face à toute autre catastrophe de la vie qui pourrait survenir simultanément avec l’événement traumatisant
  • Aider les enfants à utiliser des stratégies d’adaptation positives, à établir des liens avec les autres, à aider les autres et à rétablir des routines et des structures familières

Les psychologues ayant de l’expérience dans le domaine de la santé mentale en cas de catastrophe ou de la santé publique peuvent également proposer de conseiller les organisations humanitaires reconnues ou proposer de former d’autres psychologues.

Les psychologues peuvent également développer des relations de recherche collaborative avec les psychologues des régions touchées.

Les besoins à long terme en personnes compétentes en matière de consultation et de formation dans les zones touchées par les catastrophes sont nombreux. Les psychologues qui veulent aider dans les situations d’urgence sont encouragés à se préparer en suivant une formation sur la santé mentale en cas de catastrophe.

Où puis-je obtenir plus d’information?

Pour savoir si une intervention psychologique peut vous aider, consultez un psychologue agréé. Les associations provinciales et territoriales de psychologues, et certaines associations municipales de psychologues offrent des services d’aiguillage. Pour connaître les noms et les coordonnées des associations provinciales et territoriales de psychologues, veuillez vous rendre à l’adresse https://cpa.ca/fr/public/unpsychologue/societesprovinciales/.

Ressources supplémentaires

https://cpa.ca/docs/File/Publications/FactSheets/FS_PostTraumaticStressDisorder_FR_2020.pdf

http://apa.org/topics/index.aspx

https://www.canada.ca/fr/sante-publique/sujets/sante-mentale-et-bien-etre.html

https://www.croixrouge.ca/

https://www.un.org/en/

https://www.redcross.org/about-us/our-work/disaster-relief/disaster-mental-health.html

La présente fiche d’information a été rédigée par la Société canadienne de psychologie.

Date : février 2022

Votre opinion est importante! Si vous avez des questions ou des commentaires sur les fiches d’information de la série « La psychologie peut vous aider », veuillez communiquer avec nous : factsheets@cpa.ca.

Société canadienne de psychologie
1101 promenade Prince of Wales, bureau #230
Ottawa, ON K2C 3Y4

Tél. : 613-237-2144
Numéro sans frais (au Canada) :  1-888-472-0657

[1] D’après le Red Cross Foundations of Disasters Mental Health Manual de la Croix-Rouge américaine.

Mois de l’histoire des noirs : Dr. Kofi-Len Belfon

Dr Kofi-Len Belfon photoDr Kofi-Len Belfon
Février, c’est le Mois de l’histoire des Noirs, et la SCP met en vedette, tout au long du mois, des psychologues noirs contemporains. Le Dr Kofi-Len Belfon est un psychologue clinicien et travaille avec les enfants, les adolescents et les familles. Il porte de nombreux chapeaux, comme celui de directeur clinique adjoint de Kinark Child and Family Services.


Profils du Mois de la psychologie : Dr Amir Sepehry et Dre Diana Velikonja, Psychopharmacologie

Dr Amir Sepehry
Dr Amir Sepehry
Dre Diana Velikonja
Dre Diana Velikonja

Dr Amir Sepehry and Dre Diana Velikonja, Psychopharmacologie
Au carrefour de la psychologie et de la médecine se situent la psychopharmacologie. Les psychopharmacologues sont des psychologues qui peuvent prescrire des médicaments comme le font les psychiatres, mais qui possèdent une formation de psychologue sur les interventions basées sur le comportement et la thérapie. Le Dr Amir Sepehry et la Dre Diana Velikonja nous en parlent davantage.


Psychology Month Profile: Dr Kerry Mothersill, Dre Kelsey Collimore, et Dre Stephanie Greenham, Psychologues en milieux hospitaliers et en centres de santé

Dr Kerry Mothersill
Dr Kerry Mothersill
Dre Kelsey Collimore
Dre Kelsey Collimore
Dre Stephanie Greenham
Dre Stephanie
Greenham

Dr Kerry Mothersill, Dre Kelsey Collimore, et Dre Stephanie Greenham, Psychologues en milieux hospitaliers et en centres de santé
Plusieurs psychologues travaillent dans le système public de soins de santé, certains dans les hôpitaux et d’autres, dans les centres de santé comme membres d’équipes interdisciplinaires traitant une grande diversité de patients. Les Drs Kelsey Collimore, Stephanie Greenham et Kerry Mothersill nous proposent certaines réflexions sur leur travail.


Profils du Mois de la psychologie : Dr Jude Mary Cénat, Dre Helen Ofosu, Anita Shaw, Kafui Sawyer, Dre Erin Beettam, et Dre Monnica Williams, Section de Personnes Noires en Psychologie

Dr Jude Mary Cénat
Dr Jude Mary Cénat
Dre Helen Ofosu
Dre Helen Ofosu
Anita Shaw
Anita Shaw

Dr Jude Mary Cénat, Dre Helen Ofosu, Anita Shaw, Kafui Sawyer, Dre Erin Beettam, et Dre Monnica Williams, Section de Personnes Noires en Psychologie

Kafui Sawyer
Kafui Sawyer
Dre Erin Beettam
Dre Erin Beettam
Dre Monnica Williams
Dre Monnica Williams

L’une des deux nouvelles sections de la SCP est la Section de la psychologie des Noirs; elle vise à accroître la présence des professionnels de la psychologie noirs et à accroître l’accès aux services de santé mentale pour la communauté noire.


Mois de l’histoire des noirs : Dre Monnica Williams

Dre Monnica Williams photoDre Monnica Williams
Février, c’est le Mois de l’histoire des Noirs, et la SCP met en vedette des psychologues noirs contemporains tout au long du mois. La Dre Monnica Williams est chercheuse à l’Université d’Ottawa et se consacre à rendre la recherche plus ouverte aux personnes de couleur. En particulier, aujourd’hui, la recherche sur la médecine psychédélique.

Profils du Mois de la psychologie : Dr Vinay Bharadia et Dre Kristina Gicas, Clinical Neuropsychology Section

Dr Vinay Bharadia
Dr Vinay Bharadia
Dre Kristina Gicas
Dre Kristina Gicas

Dr Vinay Bharadia et Dre Kristina Gicas, Neuropsychologie clinique
Notre cerveau et notre corps entretiennent une relation, parfois harmonieuse, parfois conflictuelle. C’est le domaine de la neuropsychologie clinique. Nous avons parlé au Dr Vinay Bharadia et à la Dre Kristina Gicas pour en savoir plus.


Profils du Mois de la psychologie : Dre Karen Blair, Dre Rhea Ashley Hoskin, et Bre O’Handley Orientation sexuelle et identité sexuelle

Dre Karen Blair
Dre Karen Blair
Dre Rhea Ashley Hoskin
Dr. Rhea Ashley
Hoskin
Bre O’Handley
Bre O’Handley

Dre Karen Blair, Dre Rhea Ashley Hoskin, et Bre O’Handley Orientation sexuelle et identité sexuelle
Le champ de l’orientation sexuelle et de l’identité de genre a grandement évolué au cours des dernières années, de l’obtention du mariage entre personnes de même sexe, en passant par l’abolition des thérapies de conversion. Nous avons discuté de ces progrès avec la Dre Karen Blair, la Dre Rhea Ashley Hoskin et Bre O’Handley. Nous avons aussi abordé une expression que vous n’avez peut-être jamais entendue auparavant, la « féminophobie ».


Profils du Mois de la psychologie : Dre Shahnaz Winer, Carrières et professions en psychologie

Dre Shahnaz Winer
Dre Shahnaz Winer

Dre Shahnaz Winer, Carrières et professions en psychologie
L’une des deux nouvelles sections de la SCP, la Section des carrières et des professions en psychologie, est un endroit où réseauter et collaborer, destiné aux personnes qui ont un diplôme en psychologie, mais qui travaillent dans d’autres sphères que le milieu universitaire ou la pratique clinique.


Profils du Mois de la psychologie : Dr Marvin McDonald, Dre Tanya Mudry, Dre Janet Miller, Dr Houyuan (Hy) Luo, et Dre Jessica Van Vliet, Psychologie du counseling

Dr Marvin McDonald
Dr Marvin McDonald
Dre Tanya Mudry
Dre Tanya Mudry
Dre Jessica Van Vliet
Dre Jessica Van Vliet
Dr Houyuan (Hy) Luo
Dr Houyuan (Hy) Luo
Dre Janet Miller
Dre Janet Miller

Dr Marvin McDonald, Dre Tanya Mudry, Dre Janet Miller, Dr Houyuan (Hy) Luo, et Dre Jessica Van Vliet, Psychologie du counseling
La psychologie du counseling a de nombreuses facettes et est exercée par de nombreux praticiens différents. Nous avons parlé avec cinq d’entre eux de leur travail et de la manière dont il influence la vie quotidienne des gens.


Profils du Mois de la psychologie : Dre Jenna Boyd and Dre Rachel Langevin, Section du stress traumatique

Dre Jenna Boyd
Dre Jenna Boyd
Dre Rachel Langevin
Dr. Rachel Langevin

Dre Jenna Boyd et Dre Rachel Langevin, Section du stress traumatique
Traumatic Stress shows itself in more than just PTSD, and can be caused by more than just major single events. Dr. Jenna Boyd and Dr. Rachel Langevin are working to help those affected by trauma, and working to learn more about traumatic stress as they do.


Mois de l’histoire des noirs : Dr Jude Mary Cénat

Dr Jude Mary Cénat photoDr Jude Mary Cénat
Février, c’est le Mois de l’histoire des Noirs, et la SCP met en vedette des psychologues noirs contemporains tout au long du mois. Jude Mary Cénat, Ph. D., est le directeur du Laboratoire de Recherche Vulnérabilité, Trauma, Résilience et Culture (V-TRaC) de l’Université d’Ottawa et le directeur du Centre Interdisciplinaire pour la santé des Noir.e.s.

Profils du Mois de la psychologie : Dr Andrew Hyounsoo Kim et Dr Nassim Tabri Psychologie de la dépendance

Dr. Andrew Hyounsoo Kim
Dr Andrew Hyounsoo Kim
Dr. Nassim Tabri
Dr Nassim Tabri

Dr Andrew Hyounsoo Kim et Dr Nassim Tabri, Psychologie de la dépendance
La psychologie de la toxicomanie couvre de nombreux domaines, de la consommation de substances psychoactives jusqu’aux jeux vidéo. Le Mois de la psychologie met en vedette aujourd’hui le Dr Andrew Hyounsoo Kim et le Dr Nassim Tabri, qui parlent du travail qu’ils font dans le domaine des dépendances et de la lutte contre la stigmatisation qui entoure le sujet.


Profils du Mois de la psychologie : Juanita Mureika et Dawn Hanson, Psychologues et la retraite

Dr. Juanita Mureika
Juanita Mureika
Dr. Dawn Hanson
Dawn Hanson

Juanita Mureika et Dawn Hanson, Psychologues et la retraite
Même après la retraite, de nombreux psychologues poursuivent leurs activités professionnelles. Le Mois de la psychologie met en vedette aujourd’hui Juanita Mureika et Dawn Hanson, qui nous parlent de leur travail dans ce domaine.


Mois de l’histoire des noirs : Dre Eleanor Gittens

Eleanor Gittens photoDre Eleanor Gittens
La Dre Gittens est professeure au Georgian College et enseigne au programme universitaire de formation policière. Elle aide les étudiants à confronter leurs préjugés avant d’obtenir leur diplôme et devenir policiers, en les emmenant à la Barbade!


Profils du Mois de la psychologie : Dr Jonathan Wilbiks, Cerveau et sciences cognitive

Dr. Jonathan Wilbiks
Dr Jonathan Wilbiks

Dr Jonathan Wilbiks , Cerveau et sciences cognitive
Les chercheurs du domaine des sciences du cerveau et des sciences cognitives s’intéressent à la façon dont le cerveau fonctionne et à la façon dont il perçoit et trie les stimuli externes. La rubrique du Mois de la psychologie d’aujourd’hui se penche sur ce sujet, avec le Dr Jonathan Wilbiks, qui nous parle de son travail – et de Snoop Dogg et Angela Hewitt.


Profils du Mois de la psychologie : Dre Gilla Shapiro, Psychologie de la santé et médecine du comportement

Dre Gilla Shapiro
Dre Gilla Shapiro

Dre Gilla Shapiro, Psychologie de la santé et médecine du comportement
La psychologie de la santé et la médecine comportementale couvrent beaucoup de domaines, qu’il s’agisse d’encourager les personnes atteintes de diabète à prendre leur insuline ou d’inciter les gens à adopter des habitudes alimentaires plus saines. Le Mois de la psychologie met en vedette aujourd’hui la Dre Gilla Shapiro, qui parle du travail qu’elle fait dans le domaine du cancer et de la vaccination.


Profils du Mois de la psychologie : Ann Marie Beals, Dre Natalie Kivell, et Ramy Barhouhe, Psychologie communautaire

Ann Marie Beals
Ann Marie Beals
Dr. Natalie Kivell
Dre Natalie Kivell
Ramy Barhouhe
Ramy Barhouhe

Ann Marie Beals, Dre Natalie Kivell, et Ramy Barhouhe, Psychologie communautaire

La psychologie communautaire concerne davantage l’aspect « communautaire » que l’aspect « psychologique » et est très impliquée dans les questions de justice sociale. Le Mois de la psychologie met en vedette aujourd’hui Ann Marie Beals, la Dre Natalie Kivell et Ramy Barhouhe, qui nous parlent de leur travail dans ce domaine.


Profils du Mois de la psychologie : Dre Milica Miočević et Dr Rob Cribbie, Méthodes quantitatives

Dr. Milica Miočević
Dre Milica Miočević
Dr. Rob Cribbie
Dr Rob Cribbie

Dre Milica Miočević et Dr Rob Cribbie, Méthodes quantitatives
Méthodes quantitatives est une science qui fonctionne avec presque toutes les branches de la psychologie. Tous les chercheurs utilisent des méthodes différentes pour analyser les données, mais tous les chercheurs analysent les données. Dans le cadre du Mois de la psychologie d’aujourd’hui, le Dr Milica Miočević et le Dr Rob Cribbie discutent du travail qu’ils font pour rendre la collecte et l’analyse des données plus faciles, plus cohérentes et plus précises.


Profils du Mois de la psychologie : Dre Elena Antoniadis, Dre Elizabeth Bowering, et Dr Steve Joordens , Enseignement de la psychologie

Dr. Elena Antoniadis
Dre Elena Antoniadis
Dr. Steve Joordens
Dr Steve Joordens

Dre Elena Antoniadis, Dre Elizabeth Bowering, et Dr Steve Joordens, Enseignement de la psychologie
L’enseignement de la psychologie est une science où tout ne se passe jamais exactement de la même manière. Les groupes et les contextes d’enseignement influencent tous l’apprentissage, et ce, de multiples façons. Le Mois de la psychologie met en vedette aujourd’hui la Dre Elena Antoniadis, la Dre Elizabeth Bowering et le Dr Steve Joorden, qui nous parlent de leur travail.


Mois de l’histoire des noirs : Dre Helen Ofosu

Helen Ofosu photoDre Helen Ofosu
Février, c’est le Mois de l’histoire des Noirs, et la SCP met en vedette des psychologues noirs contemporains tout au long du mois – comme la Dre Helen Ofosu, qui aide les organisations à combattre le racisme structurel grâce à son entreprise I/O Advisory Services Inc., à Ottawa.


Profils du Mois de la psychologie : Dre Nasreen Khatri et Dre Colleen Millikin, Développement adulte et vieillissement

Nasreen Khatri
Dre Nasreen Khatri
Colleen Millikin
Dre Colleen Millikin

Dre Nasreen Khatri et Dre Colleen Millikin, Développement adulte et vieillissement
La psychologie du développement adulte et vieillissement est l’étude, l’évaluation et la gestion du fonctionnement physique, psychologique, cognitif, émotionnel et social des personnes âgées de 18 ans et plus et comprend le vieillissement sous toutes ses formes, les étapes, les joies et les défis. Dans le cadre du Mois de la psychologie d’aujourd’hui, le Dr Nasreen Khatri et la Dre Colleen Millikin discutent du travail qu’ils font dans ce domaine.


Spotlight: Abbey Horner, CPA Campus Representative

Abbey Horner

Abbey Horner photo
Abbey Horner

Abbey Horner has very cold hands. A little while ago, she put those cold hands on her roommate’s leg. This led to her roommate kicking her leg out, which launched the iPad she was holding like a frisbee. That frisbeeing iPad struck Abbey in the head, and the resulting concussion is why her camera is off for this Zoom meeting.

Staying in dark rooms and not looking at screens has been a small adjustment for Abbey – an avid reader, she is now listening to audio books regularly. As a fourth-year student at the University of Western Ontario, she is listening to her online classes rather than watching them. While most of her classmates were doing in-person classes at the time of our interview, Abbey was stuck listening in from home.

Abbey is doing an honours specialization in psychology with a major in philosophy. For the past two years, she has been the Campus Representative for the CPA at Western. It has been a tough two years, with few in-person events to organize.

“Last year was the first year the CPA had a presence on the Western campus, so we had to establish ourselves which was a little difficult. It was me and two other people – Andrew Vincent and Li-elle Rapaport. They were both amazing, and it was great because Li-elle was also the President of the Western Psychology Association so we made a lot of contacts with them and did a lot of collaborations to build our audience. We spent a lot of last year building our Instagram and Facebook presence, we made a TikTok, that kind of thing just explaining what the CPA does, what we do, and how we can help. Our first event was a writing workshop with our Faculty Representative Dr. David Dozois, and about 20 people came so that was encouraging!”

Abbey is currently applying to graduate school for clinical psychology, a process undoubtedly made a little more difficult with the limited screen time she can currently manage with her concussion.

TAKE FIVE WITH ABBEY

You can listen to only one musical artist/group for the rest of your life. Who is it?
“Maybe the Beatles – they’re the music I’ve been listening to the longest, since I was a kid. And there’s so much music, and none of it is bad. When you think about classic musicians some of their songs all sound kind of similar, but with the Beatles you get a lot of variety. And because they broke off on their own and did solo work, I’d get some variety there too. I might be biased though ‘cause I just watched that movie Yesterday where the world has forgotten the Beatles exist.” (Editor’s note – Abbey’s dad is British, and so the spelling of her name reflects the British spelling of things like Downton Abbey or Westminster Abbey – she is not named after Abbey Road – she thinks.)

Top three websites or apps you could not live without and why
“I use WhatsApp to communicate with family, like cousins who live in New Zealand and aunt and uncles and grandparents who live in three different countries. I’ve also always really loved audio books, so I listen to them through Libby – and especially now with my concussion I don’t know what I’d do without that. I’ve listened to more than 150 this year. And then maybe Facebook Messenger, because that’s how so many of my university groups and classmates communicate. My CPA campus rep team at Western communicates through Facebook Messenger.”

Do you have a sport? What is it and do you watch, play, follow it?
“I used to figure skate from about the ages of five to eight, but I wasn’t a very graceful figure skater and my brother played hockey so I asked my mom if I could switch to hockey. I’ve been playing ever since, and it’s my favourite sport. I also played soccer for years because my dad’s British and soccer was on every Sunday in our living room. And my mom played for Team Canada in floor hockey, which I just found out recently! When I started to play ice hockey she started as well, and now she watches hockey too.”

Favourite book
“In the last year, I read the A Wrinkle In Time series, and the first one was really good. For a long time I was reading non-fiction, and I hadn’t really been engrossed in a book where I just had to finish the whole thing the way I did when I was a kid and I would just get lost in a book. So it really brought me back to my childhood.”

Favourite word
“I really appreciate hearing people talk about ‘resilience’, which I think is amazing and it’s something that’s really important to me. But also, when I was growing up, my dad and I used to play a game that was all about the ‘weirdest words’ – words in English that are just bizarre, like ‘sausage’ or ‘fridge’. I think my favourite silly word is ‘fridge’.”

“I’ve been really lucky in that my past and current supervisors have been providing me with tips. I had a meeting with a professor the other day and he was giving me a rundown of the process and giving me more application tips. So as much as it’s quite daunting, as I have no real idea what I’m doing, I’ve been able to get a lot of support from people who’ve done it before, which is really nice.”

This year Abbey joined the CPA’s Mentorship Program where she works with a graduate student, Amanda Krause, who is in Clinical Psychology at the University of Ottawa. Amanda applied to a lot of the same schools Abbey is looking at and had a lot of assistance to provide.

“Amanda’s been absolutely amazing. She’s helped me with my personal statements, with knowing when to email professors and what to say. She’s shown me examples of her stuff. For grad school applications it’s probably the most helpful resource I’ve had.”

Ideally, Abbey is looking to get into clinical/developmental psychology. She currently works with children who have autism and would like to get a more in-depth education on the subject. She started volunteering at a local hospital when she was in high school and kept doing that right up until the start of the pandemic. She would even go back to volunteer whenever she was home from school for winter or summer breaks.

That volunteer work led to a job as a one-to-one support counsellor for kids with behavioural disabilities at the London YMCA. A lot of the kids had autism, others had learning disabilities, and the way the program worked was that Abbey and one child would work together, but in a group setting. The kids would participate in a group with similar interests, age, and abilities, and if the child needs to step out for a moment, they do so with their personal counsellor (in this case, Abbey!).

“The idea is that they would have all the supports they need while engaging in activities, making friends, and hanging out with their group. It’s a lot of sports, or art, that kind of thing. But when COVID hit they had to stop running that program. A lot of those kids can’t wear masks, and we weren’t sure what activities we could or couldn’t run, so I had to re-evaluate some things myself.”

That re-evaluation led to an application for a government grant for students who wanted to start their own businesses. Abbey got $3,000 in start-up money to start her online business this past summer. She launched a tutoring business designed for children with disabilities. It’s called ELSA (Empowered Learning Strategies for All Abilities), and tutoring those children is something she has been doing, virtually, throughout the pandemic.

This is not her first foray into entrepreneurship. Abbey has been making neuroscience-related art for the last three years, printed on stickers, mugs, socks, and more. You can buy neurotransmitter joke socks, an Alpha Waves COVID mask, or even a comforter for your bed that says ‘my only source of serotonin is podcasts’ with a delightful serotonin drawing!

“I started out making diagrams for my classes because that’s how I learn best. Then some of my friends saw those drawings and said they wanted them on stickers, or on a T-shirt. A girl I went to school with was putting her photography up on RedBubble, donating all her proceeds to Black Lives Matter, and I thought what a great idea! I started with Black Lives Matter too, and now I change it up every couple of months to a different organization I like, that I’ve researched, and that I’m passionate about. It’s a nice hobby to have, and drawing is much easier on an iPad, so I was excited when I got one a little while ago.”

As with all things, ownership of an iPad can be a positive and a negative experience. Positive, like when it makes class, drawing, and your hobbies easier. Negative, like when it crashes into your skull and concusses you. Abbey has experienced all the highs and lows one can imagine from iPad ownership but has only just begun to experience the ups and downs of a career in psychology. With her drive to learn all she can, her perseverance, and her wide-ranging passions, the prognosis is that the ups will outweigh the downs by a considerable margin!

Spotlight: Joanna Collaton, CPA Student Representative, Past President of the Student Section, and MindPad editor

Joanna Collaton

Joanna Collaton photo
Joanna Collaton

“I’m enjoying [doing therapy] a lot, to the point where I can see myself doing this forever. What I like about it is that although it seems like you’re doing only one thing, there’s so much variety in the people you see and the approaches you take.

Joanna Collaton is probably too young to have done it ALL, but she really seems like someone who has – in the realm of psychology, academia, and at the CPA at least . She seems to have found her path already, doing therapy as part of her practicum at the University of Guelph. It’s likely that 40 years from now she will still be providing therapy to adolescents – I’m booking a follow-up appointment for 2062, when Joanna really will have done it ALL.

In academia, Joanna has a Masters in Public Health in Epidemiology from the University of Toronto, obtained well before the pandemic hit. She has a Masters in Psychology from the University of Guelph and is in the second year of her PhD at that university now.

With the CPA, she has been part of the Student Section executive for three years now – the first year, as Chair-Elect, which involved running the CPA’s Student Mentorship Program. Although she did this for just one year, pre-COVID, she took the knowledge she gained from it to create something new.

“I facilitated the program, and from what I learned doing that I ended up launching a mentorship program at Guelph, connecting first-year students and upper-year students. It was a nice way to take something I learned from CPA and translate it to my home institution. We started it the first year of COVID, when it was hard for students to connect because they weren’t meeting anyone. It was another way to get people together and get the sense of community you would normally get on campus.”

The following year, as Chair of the Student Section, Joanna oversaw the student executive in all their activities and spearheaded the introduction of a new position, the Justice, Equity, Diversity, and Inclusion executive. This is an area that Joanna is particularly passionate about and is happy to see this becoming more recognized in the field of psychology. This year, as Past Chair, she is currently editor-in-chief of MindPad, the CPA’s Student Newsletter that acts as a way for students to get involved in the academic publishing process.

TAKE FIVE WITH JOANNA

The Psychological Concept that blew you away when you first heard about it?
I think a lot about the concept of post-traumatic growth. It’s the idea that someone can go through a traumatic event, and it shifts their perspectives on life and on themselves. I feel like the stereotypical understanding of this is when someone has a heart attack and then becomes a different and more evolved person in some way. But we see it across many trauma events, and I think it speaks to the resilience of people, and it’s amazing to me how people have been surviving horrible things throughout human history, and are still able to find purpose and satisfaction and doing values-driven work in spite of these life-altering events.

You can listen to only one musician / group for the rest of your life – who is it?
My partner used to be in a band and he likes to sing around the house and play the guitar. We’re getting married, so I will be listening to him for the rest of my life. So I’m going to say him.

Do you have a favourite book?
Right now I have a favourite author, Sally Rooney. She’s a fellow millennial, and writes very interestingly about relationships, mental health, and feminism in a way that I blow through her books in a day. Every time she puts something out, I have to get it right away.

If you could spend a day in someone else’s shoes, who would that be and why?
I was thinking about Marsha Linehan, the creator of Dialectical Behaviour Therapy. I have so much respect for what she’s done for the field. Just having watched her interviews and trainings, she’s such a character and brilliant person it would be great to know what that’s like!

You can become an expert at something outside of psychology – what would that be?
Cooking. I’ve improved my cooking skills tenfold over the course of the pandemic. I want to get to a place where I don’t even have to look at the recipe, that I know what goes with what and what builds flavours at different levels. I want to get to the point where I can be an obnoxious foodie, and a sommelier. Like, I want that to be my personality.

“Students don’t always have the opportunity to see behind the scenes – what it’s like to submit to a journal, and what the review process is like. I’m the editor-in-chief, then we have four associate editors, and a team of about 35 reviewers who review both in English and French. The goal is to publish mostly academic-type work that students are working on that they want to disseminate so other students will read it. We typically publish one or two issues a year, and last year they were able to publish only one. Things have kind of slowed down in some ways as people are overburdened with stuff right now! With that said, we accept submissions on a rolling basis – for this issue, up to February 28th.”

At Guelph, Joanna is the Graduate Student Representative for the CPA, the liaison between CPA and the grad students at Guelph. This is something that has, understandably, become a much different position since COVID sent everyone home two years ago.

“It’s been hard! This is my third year as the Grad Student Rep for CPA. The first year we planned to run an event where we were teaching students how to create academic posters, and that had to be canceled – it was scheduled for March 2020. We were able to run that event last year but did it virtually. Recently, we partnered with an academic advisor in the undergraduate program at Guelph and we did a tour of the CPA career hub with students and showed them the options and how to navigate through it.”

As she nears the end of her PhD, Joanna already has a really good sense of what she wants her career path to be. She’s doing a practicum at Step Stone Psychology in Toronto, and goes there in-person a few days a week. Sometimes that still involves seeing clients virtually, from a quiet room in the building, and other times it’s in-person, from a distance, separated by layers of PPE. Joanna sees children, adolescents, and emerging adults both for psychoeducational assessments and for therapy. She specializes in helping young people who have gone through a traumatic experience.

“I think at one point I would have thought ‘okay, I’m just doing therapy’ but there are so many different types of therapy, and assessment is a huge world. Then there’s all these other parts of it that keep everything fresh and interesting, like consultation, research, and advocacy,”

Advocacy is a passion for Joanna, who is a part of the VIP (Very Involved Psychologist) program with the CPA’s Director of Policy and Public Affairs, Glenn Brimacombe.

“A lot of students I work with are really interested in advocacy work, and seeing it move into more of a central tenet of psychology education. That’s why I’ve enjoyed getting to know Glenn and seeing the portfolio that he’s started up in the last little while at the CPA.”

At the last CPA convention, Joanna co-facilitated a workshop on “How to Do the Work: Advocacy Skills for Psychology Students” with Glenn and Alejandra Botia and Alanna Chu, two other members of the student section executive. It taught some hands-on skills, like how to approach an MP, or how to speak to a journalist. The workshop dealt with a number of issues related to public policy – what is it, and how is it formed? How can a psychologist, a student, a researcher influence public policy?

Of course that workshop was delivered virtually, as so many things are now. Just like the events Joanna organizes as a Student Rep at Guelph, like a lot of the therapy she delivers to adolescent clients in her practicum, and like the mentorship program and MindPad submissions have been for years. In the years to come, we are all likely to continue doing online therapy, no matter how much clients and therapists are able to return to in-person sessions. Either way, with her drive to succeed and her track record of attaining her goals, Joanna is poised to embark on a promising career – the one she can see herself doing for the rest of her life. Or, at least, until retirement – we’ll re-evaluate in 40 years!