Pandemic December: How to stay connected and resilient in a COVID-19 holiday season

This year’s holiday season will no doubt be different. The holidays are already a time of increased mental health risks because of anxiety, depression, seasonal affective disorder, alcohol/substance use and other factors. Now, the COVID-19 pandemic will add a major pressure to the festive season.

Whether you mark holidays in December or not, typical winter customs are being disrupted. The pandemic has had a significant impact on society’s ability to connect and has also reduced individuals’ access to wellness-maintaining strategies and activities. …

Read the full article by Kerri Ritchie and Caroline Gerin-Lajoie here: (https://theconversation.com/pandemic-december-how-to-stay-connected-and-resilient-in-a-covid-19-holiday-season-150678


La COVID-19 aggrave l’accès des Canadiens aux psychologues (décembre 2020)

La SCP, en collaboration avec le Conseil des sociétés professionnelles de psychologues (CSPP) a demandé à Nanos Research d’effectuer un sondage auprès de plus de 3 000 Canadiens afin de mieux comprendre comment ceux-ci prennent soin de leur santé mentale et accèdent aux soins fournis par les psychologues dans le contexte de la pandémie de COVID-19. Voir le communiqué de presse et les résultats du sondage.


COVID-19 et main-d’œuvre en santé mentale et en traitement de la toxicomanie (novembre 2020)

Financé par le Réseau canadien des personnels de santé (RCPS) et la Commission de la santé mentale du Canada (CSMC), Glenn Brimacombe (directeur des politiques et des affaires publiques de la SCP et membre du comité consultatif) a fait partie d’un groupe d’experts chargé d’examiner les forces, les défis et les débouchés du projet.


Rapport du Groupe d’intervention action santé (GIAS) : « Au-delà de la COVID-19 : Recommandations du GIAS pour une nation plus saine » (novembre 2020)

Le Groupe d’intervention action santé (GIAS), dont la SCP est un membre fondateur, a publié un document de politique intitulé Au-delà de la COVID-19 : Recommandations du GIAS pour une nation plus saine qui présente des recommandations au gouvernement fédéral en ce qui a trait à la préparation aux pandémies, à la santé des aînés et à la santé mentale. La Dre Karen Cohen (chef de la direction de la SCP) et Glenn Brimacombe (directeur des politiques et des affaires publiques de la SCP) ont participé activement à la rédaction de ce rapport.

En même temps, le GIAS a publié le résumé de son enquête sur la COVID-19, qui a révélé trois préoccupations quotidiennes majeures des membres. Il s’agit de : (1) l’accès aux ressources appropriées, y compris l’espace et l’information; (2) l’exposition au virus et l’accès aux équipements de protection individuelle (EPI) et (3) la santé mentale des prestataires.


Rapport de la Société royale du Canada sur la COVID-19, la santé mentale et le rôle du gouvernement fédéral (octobre 2020)

Le rapport intitulé Atténuer les perturbations engendrées par la pandémie de la COVID-19 : comment soutenir la santé mentale de la population canadienne] élaboré par un groupe de travail de la Société royale du Canada a été publié en octobre 2020 et comporte 21 recommandations, axées principalement sur le rôle du gouvernement fédéral relativement au soutien et aux investissements en santé mentale. Plusieurs des recommandations de l’ACMMSM issues de son Plan d’action en santé mentale sont incorporées au document. M. Glenn Brimacombe (directeur des politiques et des affaires publiques de la SCP), en plus de certains membres de la SCP, faisait partie du groupe de travail.


Premiers soins psychologiques pour les travailleurs de la santé de première ligne durant la COVID-19 : Un guide simple pour le bien-être

Préparé par
Dre Mélanie Joanisse, C.Psych.
Psychologue clinicienne et de la santé

Premiers soins psychologiques pour les travailleurs de la santé de première ligne durant la COVID-19 : Un guide simple pour le bien-être (PDF)

Avertissement : les outils fournis dans ce manuel ne visent pas à remplacer des services psychologiques fournis par un professionnel qualifié. Si vous avez besoin d’aide, n’hésitez pas à consulter un professionnel de la santé mentale.


Série « La psychologie peut vous aider » : Pourquoi la culture est-elle importante dans le contexte de la COVID-19?

Les pandémies sont des systèmes dynamiques complexes qui évoluent et changent avec le temps sous l’influence d’un vaste ensemble de variables interreliées. Les contextes culturels, bien qu’ils aient tendance à changer plus lentement, sont tout aussi complexes. La recherche sur les processus culturels qui se déploient en situation de pandémie est donc pleine d’incertitudes. Néanmoins, […]

Audio Update: Dr. Heather Prime on Risk and Resilience in Family Well-Being during COVID-19

Dr. Heather Prime and two colleagues collaborated on a paper called “Risk and Resilience in Family Well-Being during the COVID-19 Pandemic”. They turned to previous crises (natural disasters, economic crashes, etc) to better understand where families are at and may be headed during COVID-19. You can find their paper here: psycnet.apa.org/fulltext/2020-34995-001.html


CDC: Use of Cloth Face Coverings to Help Slow the Spread of COVID-19

CDC recommends wearing cloth face coverings in public settings where other social distancing measures are difficult to maintain (e.g., grocery stores and pharmacies), especially in areas of significant community-based transmission.

CDC also advises the use of simple cloth face coverings to slow the spread of the virus and help people who may have the virus and do not know it from transmitting it to others. Cloth face coverings fashioned from household items or made at home from common materials at low cost can be used as an additional, voluntary public health measure.

Use of Cloth Face Coverings during Pandemic: Wearing, Maintaining and Making Cloth Face Coverings


Série « La psychologie peut vous aider » : Le financement de la recherche dans le contexte de la COVID-19

Le soutien du Canada à la recherche sur la COVID Les urgences de santé publique, comme la COVID-19, affectent la vie des individus, des familles et des collectivités. Au début de mars, le gouvernement du Canada a annoncé un investissement de plus de 275 millions de dollars pour la recherche sur les mesures de lutte contre […]

Série « La psychologie peut vous aider » : Conseils aux étudiants en psychologie relativement à la COVID-19

Au fur et à mesure que la situation de la COVID-19 évolue dans le monde, la vie quotidienne des étudiants est de plus en plus perturbée : les cours ne sont plus donnés en personne, mais en ligne; les rencontres avec les amis et la famille sont interdites; l’accès à certaines ressources comme la bibliothèque universitaire, […]

Série « La psychologie peut vous aider » : Conseils aux membres du corps professoral et aux chercheurs en psychologie relativement à la COVID-19

La COVID-19 n’a pas qu’un impact sur la vie quotidienne; elle affecte également les enseignants et les équipes de recherche, et ce, de plusieurs façons; les professeurs et les chercheurs sont forcés de passer aux cours en ligne, de trouver des façons de travailler et de soutenir les étudiants à distance et d’adapter leurs projets […]

Fiche d’information sur les mesures de soutien fédérales pour les employeurs et les employés touchés par COVID-19

La SCP a produit des fiches d’information pour aider les employeurs et les employés à obtenir l’aide gouvernementale liée à COVID-19 :

  • Les mesures de soutien fédéral pour les employeurs touchés par la COVID-19 – PDF | HTML 04/15/2020
  • Les mesures de soutien fédéral pour les employés touchés par la COVID-19 – PDF | HTML 04/15/2020

  • Fiche d’information sur les mesures de soutien fédéral pour les employeurs touchés par la COVID-19

    Pendant l’actuelle pandémie de COVID-19, plusieurs gouvernements canadiens ont annoncé des programmes destinés à soutenir les employeurs dans le but précis d’atténuer certaines des conséquences économiques de la réponse du Canada pour les petites entreprises. En raison de la distanciation sociale et des autres politiques mises en place, l’activité économique au Canada a considérablement ralenti. […]

    FAQ – La psychologie peut aider à faire face à la COVID-19 : les psychologues redonnent aux fournisseurs de services de première ligne

    Une initiative de la Société canadienne de psychologie 1) Qu’est-ce que l’initiative de services pour les fournisseurs de services de première ligne? La SCP demande à tous les psychologues agréés d’envisager de donner un peu de leur temps pour fournir des services psychologiques aux fournisseurs de soins de santé de première ligne, qui pourraient se […]

    Audio Update: Dr. Karen Cohen on advocacy during COVID-19

    Daily Audio Update: Dr. Karen Cohen on advocacy during COVID-19
    Quick chat with CPA CEO Dr. Karen Cohen about advocacy during COVID-19. Calling for insurers to cover tele-psychology, and drop the requirements for a physician referral for psychological services.


    Série « La psychologie peut vous aider » : Les défis émotionnels et psychologiques auxquels sont confrontés les fournisseurs de soins de santé de première ligne pendant la pandémie de COVID-19

    Pendant que le monde entier est confronté aux défis engendrés par la pandémie de COVID-19, nous vivons tous une période de grande incertitude et de changement. Bien que certains facteurs de stress soient universels, les fournisseurs de soins de santé de première ligne font face aussi à des défis particuliers, étant exposés au risque d’être […]

    Série « La psychologie peut vous aider » : Aider les adolescents à faire face aux impacts et aux restrictions liés à la COVID-19

    Les adolescents peuvent être fortement affectés par les crises de santé publique comme le nouveau coronavirus (COVID-19). Les directives de santé publique visant à réduire la transmission se traduisent par l’annulation d’activités sportives et récréatives organisées, des fêtes et des voyages scolaires, et par des pertes d’emploi ou la réduction des heures de travail; en […]

    Joint statement from APA, CPA, APPIC, and ASPPB regarding the impact of COVID-19 on psychology training in North America.

    Education & Training in Health Service Psychology – COVID-19 – Joint Statement Updated 3-19-2020

    The Association of Psychology Postdoctoral and Internship Centers (APPIC), the American Psychological Association (APA), the Canadian Psychological Association (CPA) and the Association of State and Provincial Psychology Boards (ASPPB) have received questions and concerns from programs and students concerned about how COVID-19 will impact their training experiences and if it will impact their completion of degree requirements. The range of ever-changing information, sometimes conflicting, from different organizations in which psychology graduate students train throughout the U.S. and Canada has contributed to increasing anxiety. …

    Click here for the full statement


    “Psychology Works” Fact Sheet: Psychological Impacts of the Coronavirus (COVID-19)

    Infectious diseases, like any life stressor, challenge the way we cope. Whether we learn about them on television or experience them personally, we can feel upset, fearful and anxious as a result, both for our own personal safety and that of our family, friends, colleagues, and community. Stressful events can also bring up feelings and […]

    Série « La psychologie peut vous aider » : La pratique de la psychologie et le coronavirus (COVID-19)

    La COVID-19 a des répercussions profondes sur la santé des individus et des collectivités, et sur la prestation des services de santé, à un moment où les gens en ont particulièrement besoin, tant pour leur santé physique que mentale. Les dirigeants de la santé et les gouvernements conseillent et exigent des changements à toutes les […]

    Série « La psychologie peut vous aider » : Travailler à domicile pendant la pandémie de COVID-19, avec et sans enfants à la maison

    Le nouveau coronavirus (COVID-19) est une maladie infectieuse qui représente actuellement un risque important pour la santé publique et qui transforme rapidement le paysage du travail au Canada. Les recommandations de l’Agence de la santé publique du Canada (ASPC; https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/maladies/2019-nouveau-coronavirus.html) préconisant la distanciation sociale ont une incidence évidente sur notre vie professionnelle. De nombreux employeurs […]

    Série « La psychologie peut vous aider » : Faire face au coronavirus et prévenir la COVID-19

    Qu’est-ce que la COVID-19? La COVID-19 est une nouvelle maladie à coronavirus qui se propage rapidement dans le monde entier. L’OMS la considère désormais comme une pandémie. Même si la plupart des gens (80 %) présentent des symptômes légers, le virus est plus dangereux pour les personnes âgées (de plus de 65 ans), ainsi que pour les […]

    Virus Corona – Ressources COVID-19 et Messages aux membres

    À mesure que l’impact de la COVID-19 se fait sentir dans le monde entier, nous reconnaissons la pression que met la crise actuelle, et en constante évolution, sur les éducateurs, les enseignants, les superviseurs et les praticiens du domaine de la psychologie de partout au Canada. Au nom de la SCP, nous exprimons notre gratitude […]

    Série « La psychologie peut vous aider » : Les adolescents et les écrans

    Série « La psychologie peut vous aider » : Les adolescents et les écrans

    Les effets de l’utilisation des écrans

    Il est bien connu que l’utilisation des écrans et des médias sociaux fait partie intégrante de la vie des adolescents dans la société moderne. En raison de l’accès à un jeune âge aux téléphones intelligents, des caractéristiques de conception qui visent à garder les jeunes sur les sites et les applications de jeux, et de la propension des adolescents à rechercher les réactions de leurs pairs, il est difficile de surveiller l’utilisation des écrans et ses effets sur la santé mentale des jeunes. Comme les enfants plus jeunes, les adolescents qui passent beaucoup de temps devant les écrans ont tendance à consacrer moins de temps à des activités saines qui favorisent leur développement, comme la socialisation en personne, l’exercice physique et la réalisation de leur potentiel scolaire. Si la technologie permet d’accéder à des informations utiles, à des outils permettant d’accomplir des tâches et à du divertissement, elle peut également avoir des effets négatifs sur les adolescents. Voici un échantillon des effets les plus courants que nous avons découverts jusqu’à présent :

    • Les médias sociaux peuvent favoriser les liens et le sentiment d’appartenance, en particulier chez les jeunes qui se sentent marginalisés.
    • Les jeux vidéo peuvent contribuer à une socialisation positive et améliorer certaines aptitudes cognitives.
    • Un visionnement excessif, problématique ou passif, tel que la consultation passive, est associé aux effets suivants :
      • symptômes de dépression et/ou d’anxiété
      • réduction de l’estime de soi
      • mode de vie sédentaire et prise de poids possible
      • diminution de l’engagement scolaire
      • usage addictif entraînant une interférence accrue avec le fonctionnement quotidien, comme dormir suffisamment, bien manger et arriver à l’heure à l’école

    Recommandations d’utilisation

    Voici quelques recommandations permettant de réduire la probabilité de voir apparaître les effets négatifs de l’utilisation des écrans. N’oubliez pas que l’utilisation des écrans et des médias sociaux est une compétence développementale, comme beaucoup d’autres tâches à réaliser pendant l’adolescence; votre adolescent fera des erreurs et aura besoin de soutien pour apprendre et évoluer sur ce plan.

    • Tout d’abord, surveillez les signes d’utilisation problématique ou excessive. En voici quelques exemples :
      • incapacité à mettre les appareils de côté ou à les déconnecter
      • absence de contact avec les autres en personne et/ou isolement social
      • ne pas pratiquer d’activités physiques
      • baisse des notes ou autres signes de difficultés scolaires
      • mentir pour avoir plus de temps d’écran
      • difficulté à dormir ou réduction du sommeil
    • En raison des effets graves des médias sociaux sur la santé mentale de nombreux jeunes adolescents, il est essentiel de surveiller la façon dont ils utilisent les médias sociaux afin de les protéger contre les comportements préjudiciables et haineux.
    • En raison du soutien social positif et du sentiment de connexion que procurent les médias sociaux, il ne faut pas interdire complètement l’accès aux appareils. Il faut plutôt s’efforcer de fixer des limites adaptées à l’âge, tant en ce qui concerne le contenu que le temps passé devant les écrans.
    • Comme la plupart des adolescents vont aussi à l’école, il est important de les soutenir dans leurs habitudes d’études. Par exemple, leur apprendre à éviter le « multitâche numérique », comme naviguer sur le Web pendant qu’ils étudient, en plaçant leur téléphone loin de l’endroit où ils étudient.

    Stratégies pour les personnes qui s’occupent des enfants

    Il est parfois difficile de trouver la meilleure façon de limiter l’utilisation des écrans par les adolescents. Voici quelques stratégies parentales qui peuvent les aider à le faire :

    • Donnez l’exemple d’un comportement sain par rapport aux écrans : on constate que l’utilisation des écrans par les personnes qui prennent soin des enfants est associée à l’utilisation des écrans par l’enfant et à des effets plus négatifs.
    • Faites en sorte que toute la famille passe régulièrement du temps sans écran : tout le monde se déconnecte!
    • Mettez en place une structure proactive et des limites à l’utilisation des écrans. Commencez quand les enfants sont jeunes.
    • Enseignez aux adolescents comment utiliser les médias sociaux, notamment en leur expliquant à qui il est prudent de parler et ce qu’il est approprié de publier.
    • N’autorisez du temps d’écran qu’après que l’adolescent a accompli d’autres tâches nécessaires, par exemple, les devoirs, l’activité physique, les activités sociales.
    • À mesure que l’adolescent adopte un comportement adéquat, accordez-lui des périodes intermittentes d’accès non surveillé – en limitant la durée du temps d’écran et en surveillant le contenu dans le cas des jeunes adolescents. Les minuteurs et les applications de suivi du temps d’écran peuvent être utiles à cet égard.
    • Ne prolongez pas le temps d’écran en réponse à ses protestations – validez ses sentiments de tristesse et de déception, aidez-le à réguler ses émotions s’il est contrarié et respectez la limite fixée.
    • Apprenez et pratiquez des stratégies d’autorégulation des émotions pour faire face aux protestations de l’adolescent, par exemple, pleine conscience, phrases d’autocompassion et respiration apaisante.
    • Il peut être nécessaire de rappeler aux adolescents que l’accès aux écrans et aux appareils est un privilège, et non un droit, et qu’en tant qu’adulte, c’est vous qui êtes responsable de leur bien-être, qui est votre priorité absolue.
    • Lorsqu’un adolescent plus âgé montre qu’il est capable de gérer son utilisation des écrans et qu’il utilise bien les médias sociaux, une plus grande liberté peut lui être laissée. Les personnes qui s’occupent des jeunes peuvent progressivement diminuer la surveillance du contenu et le contrôle du temps passé devant l’écran.
    • Même si vous laissez plus de liberté à l’adolescent, faites le point tous les mois pour revoir les règles et voir comment les choses se passent. Félicitez les jeunes qui se comportent bien. Si des signes d’usage problématique apparaissent, les limites de temps et de contenu devraient être rétablies.
    • Veillez à rester calme et accessible lorsque vient le temps de discuter de l’utilisation des écrans, afin que l’adolescent se sente à l’aise et vienne vous voir si une erreur est commise ou si une règle n’est pas respectée. Le plus efficace serait que votre adolescent vienne vous voir pour que vous puissiez résoudre ensemble les problèmes et trouver une solution adéquate.
    • Continuez de surveiller les signes de cyberintimidation et d’exclusion sociale. Ces signes peuvent être similaires à ceux d’une utilisation problématique ou excessive des écrans décrits ci-dessus. Parmi les autres signes, citons l’apparition de symptômes mentaux plus graves, comme une modification soudaine de la participation à ses activités, de son humeur et de son hygiène personnelle. Comme dans les autres situations où votre adolescent a besoin d’aide, intervenez activement, cherchez du soutien en matière de santé mentale si nécessaire et mettez en place avec lui des protocoles de sécurité supplémentaires à l’aide des autres stratégies suggérées ici.
    • Établissez un protocole de sécurité et de soutien afin que, s’il se trouve dans une situation risquée ou si un incident se produit (du type « appelle chez toi si toi ou ton chauffeur n’êtes pas en état de conduire »), il puisse communiquer avec vous. De cette façon, votre adolescent sera en mesure d’obtenir le soutien opportun dont il a besoin et de résoudre les problèmes éventuels, plutôt que de cacher ou d’aggraver la situation par crainte de se voir retirer l’usage du téléphone ou des médias sociaux.
    • Aucun écran dans la chambre/pendant la nuit (ou assurez-vous que toutes les notifications sont désactivées et que l’utilisation pendant la nuit est surveillée). Idéalement, tous les appareils électroniques de la maison (ceux des parents aussi) devraient être placés dans un endroit central pour être rechargés pendant la nuit.

    Ressources supplémentaires

    Nous savons qu’il est parfois difficile pour les parents de gérer le temps d’écran et l’utilisation des médias numériques. La technologie et les programmes sont conçus pour générer des récompenses et faire en sorte qu’il soit difficile de s’arrêter. La mise en œuvre de ces stratégies nécessitera du temps et de la pratique, mais le jeu en vaut la chandelle. Vous trouverez ci-dessous quelques ressources supplémentaires qui vous seront utiles. Si vous êtes préoccupé par la santé mentale et le bien-être d’un membre de votre famille, n’hésitez pas à demander l’aide d’un professionnel.

    Pour savoir si une intervention psychologique peut vous aider, consultez un psychologue agréé. Les associations provinciales et territoriales de psychologues, et certaines associations municipales de psychologues peuvent mettre à la disposition du public une liste de psychologues en exercice qui peut être consultée pour obtenir les services appropriés. Pour obtenir le nom et les coordonnées des associations provinciales et territoriales en psychologie, visitez https://cpa.ca/fr/public/unpsychologue/societesprovinciales/.

    La présente fiche d’information a été préparée pour la Société canadienne de psychologie par la Dre Jo Ann Unger, psychologue agréée, et la Dre Michelle Warren, psychologue agréée, Université du Manitoba.

    Révision : mai 2025

    Votre opinion est importante! Si vous avez des questions ou des commentaires sur les fiches d’information de la série « LA PSYCHOLOGIE PEUT VOUS AIDER », veuillez communiquer avec nous : factsheets@cpa.ca.


    Références

    American Psychological Association (2023). Health advisory on social media use in adolescence. https://www.apa.org/topics/social-media-internet/health-advisory-adolescent-social-media-use

    Boak, A., Elton-Marshall, T. et Hamilton, H.A. (2022). The well-being of Ontario students: Findings from the 2021 Ontario Student Drug Use and Health Survey (OSDUHS). Centre de toxicomanie et de santé mentale https://www.camh.ca/-/media/files/pdf—osduhs/2021-osduhs-report-pdf.pdf

    Boers, E., Afzali, M.H., Newton, N. et & Conrod, P. (2019). Association of screen time and depression in adolescence. JAMA Pediatrics, 173(9), 853-859. https://doi.org/10.1001/jamapediatrics.2019.1759

    Boer, M., Stevens, G. W.J.M., Finkenauer, C., de Looze, M. E. et van den Eijnden, R.J.J.M. (2021). Social media use intensity, social media use problems, and mental health among adolescents: Investigating directionality and mediating processes. Computers in Human Behaviour, 116, Article 106645. https://doi.org/10.1016/j.chb.2020.106645

    Kim, S., Favotto, L., Halladay, J., Wang, L., Boyle, M.H., Georgiades, K. (2020). Differential associations between passive and active forms of screen time and adolescent mood and anxiety disorders. Social Psychiatry and Psychiatric Epidemiology, 55(11), 1469-1478. https://doi.org/10.1007/s00127-020-01833-9

    Li, X., Vanderloo, L.M., Keown-Stoneman, C.D.G., Cost, K.T., Charach, A., Maguire, J.L., Monga, S., Crosbie, J., Burton, C., Anagnostou, E., Georgiades, S., Nicolson, R., Kelley, E., Ayub, M., Korczak, D.J. et Birken, C.S. (2021). Screen use and mental health symptoms in Canadian children and youth during the COVID-19 pandemic. JAMA Network Open, 4(12), Article e2140875.  https://doi.org/10.1001/jamanetworkopen.2021.40875

    Li, X., Vanderloo, L.M., Maguire, J.L., Keown-Stoneman, C.D.G., Aglipay, M., Andersons, L.N., Cost, K.T., Charach, A., Vanderhout, S.M. et Birken, C.S. (2021). Public health preventive measures and child health behaviours during COVID-19: A cohort study. Canadian Journal of Public Health, 112, 831-842. https://doi.org/10.17269/s41997-021-00549-w

    MediaSmarts. (2022). Young Canadians in a wireless world, phase IV: Life online. https://mediasmarts.ca/sites/default/files/publication-report/full/life-online-report-en-final-11-22.pdf

    Ponti, M. (2023). Le temps d’écran et les enfants d’âge préscolaire : la promotion de la santé et du développement dans un monde numérique. Groupe de travail sur la santé numérique de la Société canadienne de pédiatrie. https://cps.ca/fr/documents/position/le-temps-decran-et-les-enfants-dage-prescolaire

    Toombs, E., Mushquash, C.J., Mah, L., Short, K., Young, H., Cheng, C., Zhu, L., Strudwick, G., Birken, C., Hopkins, J., Korczak, D.J., Perkhun, A. et Born, K.B. (2022). Increased screen time for children and youth during the COVID-19 pandemic. COVID-19 Science Advisory Table. https://doi.org/10.47326/ocsat.2022.03.59.1.0

    Série « La psychologie peut vous aider » : Les jeunes enfants et les écrans

    Série « La psychologie peut vous aider » : Les jeunes enfants et les écrans

    Les effets de l’utilisation des écrans

    Les enfants ont accès à la technologie et aux appareils électroniques et les utilisent plus que jamais. Si la technologie permet d’accéder à des informations utiles, à des outils permettant d’accomplir des tâches et à des divertissements amusants, elle peut également avoir des effets négatifs, en particulier sur les enfants. Elle peut notamment remplacer d’autres activités nécessaires à une croissance et à un développement sains et avoir des répercussions négatives sur le bien-être émotionnel et social. Voici un échantillon des effets les plus courants que nous avons découverts jusqu’à présent :

    • Bien que les interactions directes et dynamiques avec des adultes attentionnés soient ce qu’il y a de mieux pour le développement des enfants, les moyens éducatifs adaptés à l’âge peuvent également favoriser le développement du langage, de la lecture, et le développement cognitif et social.
    • Les technologies peuvent être utilisées pour encourager et accompagner l’activité physique et le développement de la motricité.
    • Bien que des utilisations particulières de la technologie numérique puissent soutenir certaines tâches développementales, une utilisation trop importante ou excessive est associée à :
      • des retards de langage, des capacités cognitives moindres et des retards dans l’apprentissage de la lecture
      • une diminution de la capacité d’autorégulation émotionnelle et des problèmes de comportement
      • des déficits en matière d’aptitudes sociales
      • un développement moteur plus faible
      • un sommeil perturbé lorsque les écrans sont utilisés avant le coucher

    Recommandations d’utilisation

    Voici quelques recommandations permettant d’éviter que les enfants ne soient surexposés aux écrans, en particulier pendant les premières années de développement du cerveau :

    • Moins de deux ans : aucun temps d’écran.
    • De deux à cinq ans : moins d’une heure par jour.
    • Il n’existe actuellement aucune recommandation publiée qui concerne la durée d’utilisation des écrans pour les enfants de plus de cinq ans. Les cliniciens recommandent généralement que les enfants d’âge scolaire ne dépassent pas une heure de temps d’écran récréatif par jour d’école et pas plus de deux à trois heures par jour de fin de semaine, tout en adaptant le temps d’écran à l’âge et au niveau d’habileté de l’enfant.
    • Certaines provinces ont mis en œuvre une politique interdisant les appareils numériques personnels à l’école. Bien que des recherches soient en cours pour déterminer son efficacité, il semble que cette politique soit utile et qu’elle contribue au développement général et au bien-être des enfants d’âge scolaire.
    • Courtes périodes d’utilisation entrecoupées d’activités physiques complètes.
    • Éviter les écrans après 19 h et au moins une heure avant le coucher.
    • Privilégier du contenu éducatif, adapté à l’âge de l’enfant et interactif – pas de contenu violent pour les plus jeunes. Pour les enfants plus âgés, le visionnement de contenu violent doit être supervisé et abordé avec les parents.
    • Les personnes qui s’occupent des enfants doivent être présentes et attentives lorsque les jeunes enfants utilisent les médias numériques. Cela permet une surveillance active et donne l’occasion de passer du temps avec les enfants et de mieux connaître leurs centres d’intérêt.
    • Éteindre les écrans lorsqu’ils ne sont pas utilisés. Il a été prouvé que l’usage passif des écrans (p. ex., la télévision allumée en arrière-plan) présente davantage d’effets négatifs que l’utilisation des écrans telle qu’elle est décrite ci-dessus.

    Stratégies pour les personnes qui s’occupent des enfants

    Il peut être difficile de trouver la meilleure façon de limiter l’utilisation des écrans par les enfants. Voici quelques stratégies parentales qui peuvent les aider à le faire :

    • Donnez l’exemple d’un comportement sain par rapport aux écrans : on constate que l’utilisation des écrans par les personnes qui prennent soin des enfants est associée à l’utilisation des écrans par l’enfant et à des effets plus négatifs sur l’enfant.
    • Faites en sorte que toute la famille passe régulièrement du temps sans écran : tout le monde se déconnecte!
    • Mettez en place une structure proactive et des limites à l’utilisation des écrans. Les minuteurs et les applications de suivi du temps d’écran peuvent être utiles à cet égard. Commencez quand les enfants sont jeunes.
      • Prévoyez les moments où les enfants seront autorisés à passer du temps devant un écran, afin de ne pas avoir à décider à chaque fois qu’ils le demandent.
      • Comprenez l’activité à laquelle s’adonne votre enfant sur les écrans afin de pouvoir l’aider à mettre fin correctement à sa séance d’écran. Peut-elle être sauvegardée à certains moments? La durée d’une vidéo dépasse-t-elle la limite de temps autorisée? Aidez votre enfant à choisir ce qu’il fera sur les écrans et être précis sur le type d’activité numérique permise; par exemple, il est plus difficile de superviser une séance de navigation sur Internet et d’y mettre fin.
      • Privilégiez les activités à l’écran qui ont des effets positifs, comme les applis éducatives et les échanges par vidéo avec les proches.
    • N’autorisez du temps d’écran qu’après que l’enfant a accompli les autres tâches nécessaires, par exemple, les devoirs, l’activité physique, les activités sociales.
    • Avertissez l’enfant avant la fin du temps d’écran afin qu’il puisse se préparer à mettre fin à sa séance d’écran ou à la sauvegarder.
    • Ne prolongez pas le temps d’écran en réponse à ses protestations – validez ses sentiments de tristesse et de déception, aidez-le à réguler ses émotions s’il est contrarié et respectez la limite fixée.
    • Apprenez et pratiquez des stratégies d’autorégulation des émotions pour faire face aux protestations de l’enfant, par exemple, pleine conscience, phrases d’autocompassion et respiration apaisante.
    • Prévoyez une activité ou une tâche à laquelle l’enfant pourra se consacrer une fois le temps d’écran écoulé et guidez-le doucement vers cette activité.
    • Récompensez l’enfant en le félicitant lorsqu’il met fin au temps d’écran dès la première demande.
    • Si l’enfant se met en colère lorsque le temps d’écran est écoulé, prévoyez une conséquence cohérente que l’enfant connaîtra à l’avance.
    • Dans le cas des enfants plus âgés qui ont la permission d’utiliser les médias sociaux, exigez qu’ils vous incluent dans leurs groupes d’amis et vous autorisent à les suivre. Vous pouvez leur expliquer que cela fait partie de votre devoir, qui est de veiller à leur sécurité.
    • En ce qui concerne les enfants plus âgés qui ont été autorisés à participer à des groupes de clavardage, la personne qui s’occupe d’eux doit vérifier le contenu de manière aléatoire afin de veiller à leur sécurité et de s’assurer qu’ils apprennent à échanger avec leurs amis en ligne de manière appropriée. Même si l’enfant peut avoir besoin de plus de consignes, de restrictions et/ou de surveillance s’il commet des erreurs, veillez à rester calme et accessible lorsque vient le temps d’en parler. Le plus efficace serait que vos enfants plus âgés viennent vous voir pour que vous puissiez résoudre ensemble les problèmes et trouver une solution positive.
    • D’autres stratégies de surveillance et de gestion des facteurs de risque de cyberintimidation chez les enfants plus âgés sont présentées dans la fiche d’information « Les adolescents et les écrans ».

    Ressources supplémentaires

    Nous savons qu’il est parfois difficile pour les parents de gérer le temps d’écran et l’utilisation des médias numériques. La technologie et les programmes sont conçus pour générer des récompenses et faire en sorte qu’il soit difficile de s’arrêter. La mise en œuvre de ces stratégies nécessitera du temps et de la pratique, mais le jeu en vaut la chandelle. Vous trouverez ci-dessous quelques ressources supplémentaires qui vous seront utiles. Si vous êtes préoccupé par la santé mentale et le bien-être d’un membre de votre famille, n’hésitez pas à demander l’aide d’un professionnel.

    Pour savoir si une intervention psychologique peut vous aider, consultez un psychologue agréé. Les associations provinciales et territoriales de psychologues, et certaines associations municipales de psychologues mettent à la disposition du public une liste de psychologues en exercice qui peut être consultée pour obtenir les services appropriés. Pour obtenir le nom et les coordonnées des associations provinciales et territoriales en psychologie, visitez https://cpa.ca/fr/public/unpsychologue/societesprovinciales/.

    La présente fiche d’information a été préparée pour la Société canadienne de psychologie par la Dre Jo Ann Unger, psychologue agréée, et la Dre Michelle Warren, psychologue agréée, Université du Manitoba.

    Révision : mai 2025

    Votre opinion est importante! Si vous avez des questions ou des commentaires sur les fiches d’information de la série « LA PSYCHOLOGIE PEUT VOUS AIDER », veuillez communiquer avec nous : factsheets@cpa.ca.


    Références

    Cost, K.T., Unternaehrer, E., Tsujimoto, K., Vanderloo, L.L., Birken, C.S., Maguire, J.L., Szatmari, P., Charach, A. (2023). Patterns of parent screen use, child screen time, and child socio-emotional problems at 5 years. Journal of Neuroendocrinology, 35(7), Article e13246. https://doi.org/10.1111/jne.13246

    Farah, R., Zivan, M., Niv, L., Havron, N., Hutton, J. et Horowitz-Kraus, T. (2021). High screen use by children aged 12-36 months during the first COVID-19 lockdown was associated with parental stress and screen us. Acta Pediatrica, 110(10), 2808-2809. https://doi.org/10.1111/apa.15979

    Mantilla A. et Edwards, S. (2019). Digital technology use by and with young children: A systematic review for the statement on young children and digital technologies. Australian Journal of Early Childhood, 44(2), 182-195. https://doi.org/10.1177/1836939119832744

    Ponti, M. (2023). Le temps d’écran et les enfants d’âge préscolaire : la promotion de la santé et du développement dans un monde numérique. Groupe de travail sur la santé numérique de la Société canadienne de pédiatrie. https://cps.ca/fr/documents/position/le-temps-decran-et-les-enfants-dage-prescolaire

    Wong, R.S., Tung, K.T.S., Rao, N., Leung, C., Hui, A.N.N., Tso, W.W.Y., Fu, K.-W.Y., Jiang, F., Zhao, J. et Ip. P. (2020). Parent technology use, parent-child interaction, child screen time, and child psychosocial problems among disadvantaged families. The Journal of Pediatrics, 226, 258-265. https://doi.org/10.1016/j.jpeds.2020.07.006

    Série « La psychologie peut vous aider » : La santé mentale au travail

    Au Canada, la santé mentale est un problème de santé publique qui inquiète de plus en plus. Un Canadien sur cinq va souffrir d’un problème de santé mentale chaque année. La santé mentale est un problème répandu parmi les Canadiens qui occupent un emploi. Chaque semaine, au moins 500 000 Canadiens s’absentent du travail à cause […]

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    Comprendre la crise des opioïdes Lorsqu’on évoque les opioïdes, tels que la codéine, la morphine et l’oxycodone, on pense souvent à des médicaments prescrits pour soulager la douleur. Cependant, les sentiments de joie et de bien-être que procure le soulagement de la douleur sont aussi ce qui fait des opioïdes une substance qui crée de […]

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    Les étudiantes en psychologie de Montréal Marjolaine Rivest-Beauregard et Justine Fortin ont créé le balado Sors de ma tête au début de la pandémie de COVID-19 pour contrer la désinformation et rendre la science accessible aux non-scientifiques. Elles se sont joints au balado de l’SCP, Mind Full, pour discuter de leur travail qui s’est un peu élargi au moment où ils se préparent à lancer leur troisième saison.


    CPA and MHCC Report on Employee and Employer Perspectives on Access to Psychological Services (June, 2022)

    Rapport de la SCP et de la CSMC sur les perspectives des employés et des employeurs sur l’accès à des services psychologiques (juin 2022)

    La Société canadienne de psychologie et la Commission de la santé mentale du Canada ont collaboré à la publication d’un rapport de recherche intitulé L’assurance-maladie complémentaire en santé mentale dans les milieux de travail canadiens : Perspectives d’employés et d’employeurs, dont le but visait à mieux comprendre les points de vue des employés et des employeurs sur l’accès à des soins psychologiques. Les résultats de l’étude indiquent que 80 % des employés estimaient que la couverture des soins psychologiques était inadéquate; 72 % des employés ont dit avoir constaté une amélioration de leur état de santé mentale après avoir reçu des soins psychologiques; 60 % des employeurs étaient convaincus que la couverture de santé mentale offrait un bon rendement des capitaux investis; et 29 % des employeurs avaient élargi la couverture en santé mentale pendant la pandémie de COVID-19. Vous trouverez un résumé du rapport ainsi qu’un lien vers le rapport complet en cliquant ici : https://commissionsantementale.ca/resource/lassurance-maladie-complementaire-en-sante-mentale-dans-les-milieux-de-travail-canadiens-perspectives-demployes-et-demployeurs-rapport-de-recherche/.


    La SCP présente un mémoire au Comité permanent de la Chambre des communes (avril 2022)

    La SCP a présenté un mémoire au Comité permanent des ressources humaines, du développement des compétences, du développement social et de la condition des personnes handicapées. Ce mémoire fait suite à une étude que le Comité a entreprise sur les pénuries de main-d’œuvre et les conditions de travail dans le cadre de l’économie des soins, laquelle comprend les travailleurs de la santé, les préposés aux bénéficiaires et les éducatrices qui se trouvent en première ligne de la pandémie mondiale de COVID-19. Le mémoire porte sur le rôle et les contributions de la psychologie au sein d’un système de soins primaires intégrés, sur l’importance de former un nombre accru de psychologues et de professionnels spécialisés en santé mentale et de l’autorisation d’exercer, et sur la nécessité de mettre en place des mesures plus fiables pour évaluer le rendement du système de santé.


    Commentaires de la SCP sur le budget fédéral de 2022 (avril 2022)

    À la suite de la publication du budget fédéral de 2022, la SCP a diffusé un communiqué de presse dans lequel elle souligne que, bien que le gouvernement fédéral ait pris des mesures importantes, il reste encore beaucoup à faire pour améliorer l’accès en temps opportun aux services de soins de santé mentale financés par l’État. De plus, le budget ne reconnaît pas la nécessité d’investir dans la recherche en psychologie pour mieux comprendre les urgences sanitaires et communautaires, comme la pandémie de COVID-19, et pour mieux y réagir.


    La SCP fait une présentation au Comité permanent de la Chambre des communes sur la santé (HESA) (mars 2022)

    La Dre Karen Cohen s’est adressée au Comité permanent de la santé au sujet de la situation d’urgence à laquelle les Canadiens sont confrontés en raison de la pandémie de COVID-19. Dans son introduction, elle a mis l’accent sur : (1) le rôle important que joue la discipline scientifique de la psychologie dans l’élaboration des politiques actuelles et post-pandémie; (2) la nécessité d’éliminer les obstacles au financement qui limitent l’accès aux soins psychologiques; (3) l’importance de former et de réglementer les ressources humaines du secteur de la santé au Canada.